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C'est la guerre ici !!!! |
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Auteur : pascalusdudix le 06/08/2019 09:28:23
n°138080R0 - C'est la guerre ici !!!! |
 
La guerre contre la détection est déclarée dans l'Aube. 
2 pages sur le sujet.....
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Auteur : pascalududix le 06/08/2019 09:34:44
n°138080R1 - ... |
Pour votre bonne information :
''''Une passion qui peut coûter cher !
En une matinée, Laurent a arpenté la plage de long en large pour ne rapporter qu’un faible butin. Mais qu’importe...
On voit souvent des personnes dans les champs avec « une poĂŞle Ă frire » Ă la recherche d’un trĂ©sor. Cette pratique est-elle vraiment lĂ©gale ? Â
La prospection par détecteur de métaux est aujourd’hui très réglementée. Mais cela n’empêche pas les passionnés de pratiquer suivant les règles. Laurent, lui, a été piqué par le virus de la détection il y a environ sept ans, après avoir essayé avec un ami. « On se prend vite au jeu de la recherche. En plus, si on trouve quelque chose, c’est encore plus grisant et on a envie d’aller plus loin. »
Malgré tout, ce détectoriste est conscient que ce loisir est à la limite de la légalité et regrette la rigidité de la loi. « Je pense que l’État trouverait son compte à travailler avec nous. Les objets précieux ne seraient plus vendus en France ou à l’étranger à des collectionneurs friands de monnaies anciennes et autres vestiges. » Il lui est déjà arrivé de vendre de belles pièces qu’il avait trouvées dans des champs.
Des données faciles d’accès
Pour lui, il y a un gros problème de communication et de diffusion sur la pratique de la détection. Il trouve, notamment, que les reportages ne vont pas dans le sens de la conservation et incitent plutôt à aller à la recherche de trésor. De plus, comme le rappelle Laurent, « il existe des applications sur lesquelles on peut se procurer des cartes qui répertorient des sites archéologiques ».
Et même s’il n’approuve pas la pratique de certains détectoristes, il ne comprend pas que ce genre de données soit aussi facile d’accès. « La réglementation est souvent contradictoire. C’est comme l’alcool au volant, on n’a pas le droit, mais on peut se procurer des bouteilles comme on veut. Pour la détection, c’est pareil. Le matériel est en vente libre sur de nombreux sites spécialisés et on peut même trouver des pièces et objets antiques à acheter aux enchères sur un site bien connu », confie Laurent.
« Sur la plage, on fait plutôt de la dépollution. »
Aujourd’hui, il va moins souvent sur le terrain. Au début, il partait dans les champs tous les jours, même le week-end. Maintenant, ses sorties sont plus espacées dans la semaine (une à deux fois). Et à chaque fois qu’il est sur le terrain, il s’arrange pour rencontrer le propriétaire des lieux pour obtenir l’autorisation de prospecter. « En général, quand on est réglo, il n’y aucun problème pour avoir l’autorisation. Sur la plage, c’est différent. C’est la mairie qui doit nous accorder le droit. Et là non plus, je n’ai jamais essuyé de refus de la part d’une municipalité. Même lors de contrôles de la gendarmerie, je n’ai pas eu de problèmes particuliers. De toute façon, quand on montre aux gendarmes ce que l’on trouve sur les plages, ils voient bien que nous faisons de la dépollution plutôt que du pillage », note le détectoriste.
Dans son discours, il y a une affirmation qui revient souvent : « la DRAC (direction régionale des affaires culturelles), donc l’État, aurait plus à gagner à avoir de bons rapports avec les détectoristes amateurs plutôt qu’à vouloir tout leur prendre. Certains d’entre nous prospectent des dizaines d’années sans trouver de pièces intéressantes. Ce loisir coûte cher, et je pense vraiment que proposer de nous rémunérer selon nos trouvailles serait une bonne solution pour conserver les trésors ».
Laurent regrette que « malgré une législation stricte, de nombreux objets disparaissent encore du patrimoine français ».
« Il ne faut pas considérer ça comme un loisir »
Au siège de la DRAC, on est formel : « Il est interdit de prospecter avec des dĂ©tecteurs de mĂ©taux sans autorisation. » Â
Thierry Bonin, conservateur régional adjoint de l’archéologie à la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) ne mâche pas ses mots au sujet des personnes qui utilisent les détecteurs de métaux sans autorisation. « Ces personnes se considèrent comme des passionnés d’histoire et d’archéologie, mais ce n’est pas ça. Ce sont des pilleurs de sites qui récupèrent des objets qui ont un intérêt national. Cette pratique est réprimandée et peut leur coûter cher », tempête le spécialiste de la question à l’antenne de la DRAC du Grand Est de Châlons-en-Champagne.
Une pratique interdite
Cette pratique est interdite et punie par la loi. Les seules personnes habilitées à chercher des objets avec des détecteurs de métaux doivent être des professionnels. D’ailleurs, comme le précise Thierry Bonin, « même les chercheurs de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) doivent demander une autorisation auprès des DRAC ». Pour les autres demandes, qui pourraient avoir un intérêt scientifique et seulement dans ce cas-là , les autorisations sont limitées et très rares.
« Si ces personnes se considèrent comme des férus d’histoire et d’archéologie, elles peuvent participer, en toute légalité, aux chantiers de fouilles programmés tout au long de l’été. » Thierry Bonin a du mal à croire que c’est par passion que certaines pratiquent la détection, mettant dans la balance les centaines d’objets disponibles à la vente sur de nombreux sites Web.
De lourdes amendes
« Ils font ça tout le temps. Ils les revendent ou se les échangent. C’est du pillage. Certains vont même sur les sites de fouilles préventives, la nuit, à la recherche de pièces rares », s’agace encore l’agent du gouvernement. Ces faits, soumis au Code pénal, au Code du patrimoine mais aussi au Code des impôts car ils génèrent des revenus imposables, sont passibles de lourdes amendes.
« Quand ils sont pris, les gens disent que c’est un loisir, mais connaissent bien les risques qu’ils encourent. »
Pourtant, depuis de nombreuses années, le nombre de prospecteurs ne cesse d’augmenter. Et le matériel disponible est, quant à lui, de plus en plus performant avec des détecteurs de métaux qui peuvent atteindre les 9 000 €. Un loisir cher, qui peut coûter encore plus cher…
Un viticulteur marnais jugĂ© pour pillage en 2014Â
L’affaire remonte au 5 février 2012. Un couple de viticulteurs marnais est interpellé par la douane pour un banal contrôle routier, avec, en sa possession, 112 pièces de monnaie d’époque romaine. Une enquête est alors ouverte. Entre 2009 et 2012, le viticulteur aurait prospecté, à la recherche de pièces anciennes, de nombreux sites de fouilles en Seine-et-Marne, dans la Marne et dans l’Aube.
À cette époque, le parquet va demander une perquisition au domicile du vigneron. Sur place, les douaniers ont trouvé un véritable petit musée : 2 300 objets anciens, dont de la monnaie, des bijoux, des poteries, dont la plupart dataient de l’époque celte ou gallo-romaine. Une collection estimée à plusieurs dizaines de milliers d’euros, aussitôt confisquée par les douaniers. Les Douanes, aux côtés du ministère de la Culture, vont alors se constituer partie civile, estimant que ces objets saisis étaient considérés comme « des biens culturels ».
Le viticulteur a été condamné à une amende douanière de 197 235 €. Le tribunal correctionnel de Meaux a reconnu l’homme coupable d’exécution de fouilles sans autorisation, de vente du produit de ces fouilles et de détention d’objets archéologiques. Il a également écopé d’une peine de six mois de prison avec sursis. Son épouse a, quant à elle, été condamnée à une amende pénale de 3 500 € pour complicité.
Le repenti de Couan
En juin dernier, une fouille programmée ouvrait sur le site du sanctuaire gaulois de Couan, dans la Nièvre. Si les archéologues soupçonnaient l’existence du sanctuaire dédié au dieu Cobannus, ils en ont la confirmation en 2008 de la pire des façons : un homme de 87 ans vient de confesser aux services de l’État qu’il a pillé le site dès la fin des années soixante-dix. Il confesse en outre avoir vendu et dispersé le fruit de ses fouilles illégales dans de prestigieuses collections américaines. Plusieurs trésors monétaires, dont un de quelque 5 000 monnaies, et de nombreuses sculptures votives de bronze... En parallèle, il restitue aux archéologues des tirages en plâtre sur la base de moulages au silicone, maladroitement peints. Et cinq originaux qu’il n’a pas vendus : une statuette d’Apollon, une de Minerve, deux de Mercure et un pommeau portant un décor de cavalier...
L’histoire en dit long sur la chaîne des responsabilités, salles des ventes peu regardantes et musées étrangers malhonnêtes... '''''
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Auteur : Chelmy le 06/08/2019 09:34:58
n°138080R2 - Grrrr !! |
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Auteur : pascalusdudix le 06/08/2019 09:37:09
n°138080R3 - ... |
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Auteur : pascalusdudix le 06/08/2019 09:38:35
n°138080R4 - ... |
Chelmy !!!!!!!
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Auteur : farfadeo le 06/08/2019 12:05:56
n°138080R5 - ... |
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Auteur : pascalusdudix le 06/08/2019 12:14:15
n°138080R6 - ... |
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Auteur : Gil 25 le 06/08/2019 12:55:05
n°138080R7 - Mouais... |
[501] En ce qui concerne le patrimoine je me demande si la Drac est aussi déterminée à s'opposer aux promoteurs éoliens.
En considérant qu'il faudra 30 millions de tonnes de béton pour installer les 20000 éoliennes prévues d'ici 2030... (En plus des 8000 existantes) Vous imaginer la taille des trous ? Des études archéologiques sont-elles systématiquement réalisées ?  J'en doute !
On est tout de même loin des petits grattages de surface occasionnés par les détectoristes...
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Auteur : pascalusdudix le 06/08/2019 13:10:32
n°138080R8 - ... |
Gil 25,
Pour info, la saisine des services de la DRAC par les services instructeurs (DDT, DĂ©partement...) est obligatoire Ă partie de 3 ha.
Parfois, la DRAC réalise des cartes avec un zonage bien spécifique, et avec une surface de travaux (voir mon exemple).
Mais la DRAC peut se saisir de n'importe quel permis (elle est informée pour les gros projets... ICPE... soumis à évaluation environnementale).
En résumé, et en fonction de ses moyens, la DRAC intervient principalement sur les gros projets.
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Auteur : LERICHE58 le 06/08/2019 17:09:42
n°138080R9 - ARCHEO |
[968]  Bonjour a toutes et tous , mon petit retour avec ce triste constat ,la situation empire et divulgue des faits 'excessifs ' commis par de vrais pilleurs , voir, le retraité et l’amalgame se fait
Pour la petite histoire je viens de faire installer une piscine enterree et , j'ai du payer une contribution pour fouilles archéologiques , qui n'ont jamais eu lieu ; meme pas par moi , Tout est bon pour faire du blé
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Auteur : farfadeo le 06/08/2019 17:15:00
n°138080R10 - DRACula |
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Auteur : Moriganne le 06/08/2019 18:32:05
n°138080R11 - ... |
[1854]
Mouais. En même temps, le détectoriste interviewé qui fustige la loi actuelle mais qui se permet de revendre ses trouvailles... et qui conclue que quand même, ouin ouin, sa passion lui coûte cher, ce serait bien que la Drac la lui finance ! Nan mais et le cul de la crémière aussi tant qu'on y est ? Il se décrédibilise tout seul, le mec, avec des gens comme lui, on n'a plus besoin d'HAPPAH pour nous tirer dans les pattes !
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Auteur : farfadeo le 06/08/2019 18:51:59
n°138080R12 - mouaiissss |
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Auteur : joël13 le 06/08/2019 21:19:38
n°138080R13 - C'est la guerre en Aube |
[1863] Pascalusdudix et tous,
Pour ma part, dans et aux alentours de mon village, près d'Aix en Provence, ça se passe bien, en effet, deux fois les gendarmes sont venus me parler alors que je détectais, ils m'ont demandé des précisions sur mon détecteur et m'ont dit qu'ils avaient, dans leur entourage et même, pour l'un d'eux dans sa famille, des gens qui pratiquaient ce loisir, l'un d'eux m'a aussi avoué qu'il en faisait de même. Ils son même repartis en me souhaitant bonne chance !
Le gendarme du sud est sympa 
Une autre fois, un gars s'est garé vers ma voiture, stationnée au bord du champs où je détectais, il est venu vers moi et m'a dit qu'il était de la DRAC et qu'il était conservateur du muséum d'histoire naturelle d'Aix en Provence.
Il m'a demandé si j'avais une autorisation et si je connaissais la loi relative aux détecteurs de métaux.
J'ai répondu non à sa première question et oui à sa deuxième.
Puis nous avons discuté un moment sur ce problème de législation relative à la détection de loisir en France et il m'a semblé, même s'il ne pouvait pas me le dire je pense, comprendre un peu mes arguments.
Il est reparti sans autres commentaires ni menace de plainte au procureur de la république.
C'est peut-être le soleil du midi qui les rend sympathiques les diverses autorités de ma région. 
Amicalement.
Joël
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Auteur : Did le 06/08/2019 21:47:57
n°138080R14 - -- |
Ă Vous
Las, fatigué, quasi dégoutté, tous suffocants et blêmes quand sonnera notre heure alors je me
souviendrais des jours anciens et je pleurerai  ...!
Et je m'en irais au vent mauvais, deçà , delà pareil à une feuille morte.... 
NO COMENT,....... soyons de bons moutons ; engraissons les et fermons notre gueule 
Drac, icpe & Co ; que faire, que dire envers tout ces belligérants qui mettrons du temps avant
que l'ont se séparent de nos détecteurs mais qui seraient foutu de la gagner leur
connerie de ' guéguérre '...! Cotisons nous et arrosons les, au lieu d'aller à la fête du 
Farfadéo ; retrouvons nous au siège de la drac et faisons un gros tas de nos pelles, nos gants,
bottes et surtout nos détecteurs d'alu......!
Minable d'insanités, ils ne réussirons pas à nous faire capituler, je préfère la ' taule '...!
Tant que nous respectons les lois en vigueur en se munissant des autorisations des proprios
terriens ; ils vont en c... pour retirer le pain de la bouche des multiples boutiques implantées
aux 4 coins de notre belle France et vive le pouvoir en place ; argent du beurre ect..., on en
aura bien besoin quand on leur mettra profond dans le  , ce qu'il arrivera forcement
d'un jour Ă l'autre pour rester optimiste ...!
Bon, y'en à mare des implications à répétition, bonne soirée à tous.....@dieu
Did....
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Auteur : cromagnon 07 le 06/08/2019 21:58:19
n°138080R15 - re |
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Auteur : Hugor le 06/08/2019 22:40:03
n°138080R16 - Petite annecdote... |
[656]
hello+ tout l'monde
Un jour, avec Willy boy on prospectaient des labours, et il se trouve qu'on était juste a coté d'un site de fouille.Y'avait toute la DRAC de Rambouillet ce jour la. Donc, y nous voit au loin et commence a nous hurler dessus en nous faisant des grands signes 'non'. Après l'archéo en chef c'est pointé vers nous et nous a apris qu'en fait le site était bien plus grand qu'on le croyait. c'était en fait une ville entière de l'époque gapllo romaine de 5000 ames. Mais les fouilles nétait que sur une petite parcelle du site.
Et donc l'archéo, super cool, y voyait bien qu'on faisait de la recherche de surface et il s'en foutait. Un moment il jm'a même proposé de venir poèler leur tas de gravas...
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Auteur : Vincent le 06/08/2019 22:47:24
n°138080R17 - Salut... |
 Moi pas de soucis ici, je connais tout le monde ! Police, conseillers municipaux... 
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Auteur : PBY le 07/08/2019 07:00:40
n°138080R18 - Loisir |
[1872] Salut Ă tous,
Nous sommes dans un pays liberticide. Tout est règlementé et taxé.
Nous payons pour des débiles qui font n'importe quoi; en voiture, à vélo, en détection, en travaux...
Sous couvert d'une protection du patrimoine ou d'une sécurité routière, on nous taxe et nous bride.
Perso, quand je détecte, c'est surtout un bon moment passé avec mon fils. A chaque découverte (fortuite) c'est l'occasion de discuter du 'avant nous'.
Ma dernière rencontre avec un 'garde champêtre' s'est relativement bien passée.
C'est vrai que je cherchais une bague que ma grand-mère avait perdu dans le coin! (héhé).
A+
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Auteur : KEZAKO13 le 07/08/2019 08:33:47
n°138080R19 - re |
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REPONDRE A CETTE DISCUSSION |
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ont définitivement mangés leurs pains blanc....regardez leurs musées ,tous vidés de leurs richesses, et de toutes cette histoire ,qui restera perdue a jamais !! montrons l'exemple, nous !!!! les irréductibles !!! gaulois....ont a toujours su faire face a l'envahisseur.......raz le bol des pilleurs ,gratteurs...
attention 
