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Auteur : daniel57 le 16/12/2006 13:53:41
46312R0 - Identification bouton
[31]
Bjr a tous
Avis aux connaisseurs pour l'identification de ce bouton .
merci d'avance
 
Auteur : adriendu25 le 16/12/2006 14:30:33
46312R1 - boutons
[786] daniel57
bouton de l'Armée de Terre - Troupes à Pieds - Infanterie de Ligne 13ème régiment
période second empire
a+
adriendu25
 
Auteur : moineau25 le 16/12/2006 14:32:26
46312R2 - infos complément ID
[786] daniel57 !!!
Quelques infos complémentaires à l'ID d'Adriendu25 !!!
Bonne lecture !!!!!!!!!

Création et différentes dénominations
1584 : Création à partir des Bandes de Montferrat sous le nom de .
1597 : renommé régiment de Nerestang.
1661 : renommé régiment de Silly.
1663 : renommé régiment de Chastelnau.
1673 : renommé régiment de Bourbonnais.
1776 : ses 1er et 3e bataillons forment le régiment de Forez.
1791 : renommé 13e régiment d'Infanterie de Ligne.

Colonels/chefs de brigade
Le premier colonel de ce régiment fut Philibert marquis de Méestang, le 6 mars 1597. Les drapeaux d'ordonnance de se corps étaient composés de deux quartiers violets et de deux quartiers bleu d'azur. Le drapeau colonel était entièrement blanc.

Ce régiment porta, durant les premières années, successivement les noms de ses colonels. Il prit le nom de Bourbonnais, le 1er février 1673, Sa longue histoire offre une série des plus hauts et des plus vaillants faits d'armes.

Le marquis de Laval (Anne-Alexandre-Marie-Sulpice de Montmorancy) prit le commandement de ce régiment le 18 avril 1776, comme mestre de camp ou colonel.

Ses successeurs furent:

Le prince de Broglie (Charles-Louis-Victor) le 1er juillet 1783;

Le baron de Poutet (François-Henri) le 23 novembre 1791;

Le chevalier d'Arlande de Alton (Louis-François-Pierre) le 8 mai 1792.


Historique des garnisons, combats et batailles du 13e RI

Ancien Régime
Chateau-Queyras-Queyras Campagne du compte 1747 de l'attaque sur la position indélogeable de l'Assiette par Monsieur le compte de Mailly

Selon ces dispositions générales, toutes les colonnes réglées au loin, il étant quatre et une heure quarte l'après-midi. Cela du centre sous les ordres de Monsieur le chevalier de Belle-Belle-Isle et d'Arnaud a souhaité d'abord se confiner à un feu de musketry sur la redoute (de l'abri d'un monticule sur lequel avait été le canon installé de quatre pauvres de la sorte connue sous le nom de robinet de la mule et lequel étaient sans effet). Mais préoccupé par le feu sous lequel ils se sont tenus, le d'Arnaud de M. (Monsieur) a décidé d'apporter ses grenadiers au pied du retranchement, auquel le côté lointain du monticule a formé une sorte de fossé, et de lui a été tué sur laisser la couverture. Une partie des grenadiers est tombée en arrière à ce moment sur le M. le chevalier de Belle-Belle-Isle, qui était au milieu de la colonne, et après les avoir rassemblés il les a apportés au pied de la redoute, mais leurs efforts de la monter étaient inutiles, sa taille de plus de seize pieds ne la permettant pas, et la plupart de ceux qui a eu le leur arrivé a été rendue sans connaissance par les pierres ou par le feu des armes que l'ennemi a dirigées vers le bas sur elles de tous le long du revêtement de la redoute. Et c'était le point à quel M. le chevalier de Belle-Belle-Isle a été tué. On ne peut pas à cette occasion mais parler des actions d'un grenadier, qui après s'être élevé sur les épaules d'un de ses camarades et saisissant sur les fascines de la redoute, grimpés jusqu au dessus et à la prise saisie d'un drapeau qui avait été planté là. Sabre à disposition, il a combattu jusqu'à résolu par des coups ; juste comme d'autres étaient sur le point de le suivre il a été renversé. La colonne gauche, commandée par M. de Mailly a avancé dans l'angle de réentrée d'où elle devait attaquer, mais n'a à peine eu la garde avançée a marché cent pas quand ils ont souffert une décharge générale qui complètement les a essuyés dehors. M. de Mailly, qui était à cheval à la tête de cette colonne, s'est déplacé là au rassemblement ce qui est demeuré, mais à ne pas pouvoir en mesure il a fait avancer le premier bataillon du régiment de Bourbonnais par une garde avançée, qu'après être arrivé au même point de but ont été soumise au même feu des retranchements et ont menée. Sur devrait ajouter que le chef de cette grande perte soufferte par unité et du colonel, M. de Goas, et hommes dès le douzième rang tous ont été éliminés. Pendant ce temps, M. de Bourdenave avait marché du côté gauche de la colonne avec ses douze piquets à la ligne inférieure des retranchements, et avait supporté sans décharges ennemies de la mise à feu deux, les a attaquées avec les baïonnettes fixes et sauter dans le retranchement les a chassées loin sans perte d'un homme simple. On a fait souffrir ce moment, qui a été suivi des cris 'de le Roi vive ', a apporté la partie avant du premier bataillon de Bourbonnais qui avait mené, et le M. de Mailly qui a fait déplacer straightaway en avant la seconde pour voir qu'après une troisième décharge ennemie sur la même tache ce bataillon a mené comme la première. Enfin il a relevé le tiers qui a marché avec la fermeté inégalée ; on a appelé Dubourdet l'a commandé ; il a été suivi dans la même tonalité du quatrième bataillon de la brigade de Reine de La, voyant de quel les premiers et deuxièmes bataillons, qui avaient mené, rassemblés et retournés, repoussant avant le tiers à la prise leur endroit à la tête de la colonne d'où ils se sont déplacés avec des cris de fureur au pied du retranchement, où ce qui est restée de la colonne a été détruit par l'incendie final de l'ennemi. Enfin, là restant de ces deux hommes des brigades trois rares ou quatre cents, M. De Mailly a fait retentir la retraite et être retournée pour prendre la même position de d'où il avait avancé. Et puisqu'il a eu l'occasion pour craindre l'ennemi laissant leur retranchement et marchant sur lui, il a changé de sa formation de colonne et a fait façonner les trois cents et cinquante hommes en une ligne deux profondément. Ce mouvement était prompt et fait de telle manière que l'ennemi, voyant un avant beaucoup prolongé ait cru que les réservations doivent être arrivées pour renforcer M. de Mailly. C'était maintenant demi de passé 6 qui a signifié que l'attaque avait duré deux et des heures quartes. En ce qui concerne l'attaque de la colonne droite sous M. de Villemur il aucun doute a occupé l'attention des troupes chez Fenestrelles et de ceux dans les retranchements, mais ne l'a pas risqué de se compromettre, bien que, peut-être il n'y avait pas plus de deux bataillons lui faisant face. Seulement le détachement de grenadier, commandé par M. de Larnage, et quelques bataillons étroitement près, ont perdu quelques hommes là. Les trois colonnes s'étant retiré ainsi et la nuit dessinant dessus, la question ont surgi de quelle ligne de conduite doit maintenant être prise. M. de Mailly, à qui un officier de la colonne de de Belle-Belle-Isle's de chevalier avait annoncé la mort du dernier, s'est pris à la colonne de centre, de même que M. de Villemur de son côté, et selon l'opinion des officiers généraux là l'a assemblée était déterminé elles se retirerait pendant la nuit. M. De Mailly a été chargé de la commande de l'arrière-garde et d'apporter loin le blessé ; il a été donné tous les grenadiers restants des trois colonnes et on l'a convenu qu'il contiendrait l'ennemi par restant dans la ligne faisant face aux retranchements jusqu'au minuit, après quoi il se retirerait. Mais depuis obtenir enroulé loin était concerné plus grand, et il n'avait pas été possible de les transporter pendant la nuit à Sault-d'0ulx où l'hôpital de champ a été situé, M. de Mailly est resté dans sa position jusqu'à dix en matin, alors retiré sur le village de Sault-d'0ulx une ligue loin des retranchements, et après avoir commandé l'enlèvement de tout le blessé qui pourrait probablement être transporté, et après être resté là jusqu'au midi, il a envoyé un officier et un commissaire militaire avec un batteur à M. de Briqueras le général de Piedmontese, l'invitant à envoyer un détachement à la subsistance et à garder le blessé qui étaient dans aucun état soyez transporté ; ce qui a été effectué selon une convention convenue par écrit par cela générale : que l'équipement de l'hôpital, ses fonds, tout qui ont appartenu au roi et au personnel joints là-dessus ne serait pas considéré comme pris ou comme prisonniers. Cet dernier objectif ayant été réalisé, M. de Mailly a joint l'armée au village d'Oulx où le corps du chevalier de Belle-Belle-Isle avait été porté et où les honneurs finals lui ont été payés. Depuis cette fois il a été transporté à Embrun. Enfin toutes les troupes se sont retirées sur le bâti Genèvre, où le M. le maréchal de Belle-Belle-Isle a envoyé des d'Argouges du général de lieutenant M. avec des commandes pour les destinations des troupes et des généraux. D'Argouges de M. déplacés à Guillestre. Et M. de Villemur est revenu à la commande dans la vallée de Barcelonnette. M. de Mailly a été donné l'instruction de la région de Briançonnais. Il a eu des ordres à rester face à l'ennemi, de concert avec les Espagnols qui occupaient la Savoie, et il a été commandé établir des retranchements de Briançon, le flanc droit dont ont été basés sur une montagne appelée l'Infernet, au-dessus du fort de l'Anjou. La pente de cette montagne a été faite plus raide et à un genre de fort établi sur elle, qui est toujours là aujourd'hui, sa gauche donnant sur la vallée de Saint-Jean-De-Maurienne afin de communiquer avec la Savoie ; la pleine ampleur de ce retranchement a pu être jusque vingt cinq ou trente ligues tenant compte de ses torsions et tours. M. de Mailly a envoyé au plan de ces retranchements au M. le maréchal de Belle-Belle-Isle avec ceux des retranchements de l'Assiette, ceux du passage de Vars, la vallée de Barcelonnette et de Tourons. Ces travaux étant accomplis et l'ennemi, après que différent manoeuvre tout près qui ont mené à pas plus que quelques engagements mineurs dans lesquels ils ont été successivement repoussés, décidant de marcher au loin vers leur gauche, M. de Mailly ont eu des ordres pour laisser trois bataillons au-dessous de Briançon et pour déplacer le parallèle avec l'ennemi ; il est ainsi entré dans le comté de Nice où il a rejoint l'armée et où produit l'affaire de la La Roya qui a fini cette campagne. Tel est joli presque le sommaire de la campagne de 1747 par rapport à l'affaire de l'Assiette, dont le manque malheureux de succès il serait très difficile de justifier du compte donné du plan global de l'attaque. Et en fait, sans pistolets, sans fascines, sans armure et en particulier sans échelles, l'attaque sur ces retranchements a semblé de façon concluante inutilisable. L'heure même à l'où elle a été débutée et, surtout, le temps a accordé à l'ennemi dans lequel pour discerner le plan, accru les obstacles là-dedans. Et en fait les têtes des colonnes se sont approchées des retranchements à 10 le matin mais l'attaque n'a pas commencé jusque à quatre heures et à un quart après le midi, tout au long lequel de l'heure l'ennemi a été vu pour établir et changer successivement ses dispositions, basé sur ceux que nous lui présentions, et il était même facile pour eux de calculer le nombre de nos troupes, tandis que leur position nous a rendus tout à fait incapables de savoir le leur. Néanmoins nous pouvons essayer avec confiance de dire que si peu plus de pensée avait été mise dans cette attaque nous pourrions avoir espéré chaque succès de lui ; et c'était une question simplement de changer les contours de la disposition globale, qui était généralement bonne. La colonne de l'Belle-Île de M. le chevalier de devrait n'avoir été pas plus qu'une repasse. Que sur le point destiné à M. de Mailly doit avoir été de la même sorte. Les deux colonnes décisives doivent avoir été ceux de M. de Villemur du côté droit contre la gauche de l'ennemi autour de Fenestrelles, et celle de M. de Mailly sur leur droite contre le point d'attaque confié à M. de Bourdenave. Mais elle également aurait dû en même temps pour que toutes ces dispositions soient faites seulement la veille de l'attaque, et pour que l'ennemi soit troublé par des détachements envoyés contre son avant entier pendant la nuit, et pour les attaques décisives puis pour avoir été formé vers le haut d'une heure avant jour. Il aurait été facile en même temps de préparer l'équipement si nécessaire pour ce genre d'action, à savoir de fascines, d'échelles, etc....., notre droit et gauche étant placé à côté des bois. C'étaient le genre de pensées proposées alors, pourtant stupidement elles étaient plus remarquables que ceux qui avaient été mis avant Belle-Île de M. le chevalier de autour de Cézane, quand selon des nouvelles arrivant alors il a été averti du mouvement de l'ennemi, dans la force, dans ces retranchements mêmes. Sur ces nouvelles M. de Belle-Belle-Isle a été rappelé l'intention de diversion de sa marche sur Exilles. Ce devait seulement obliger l'ennemi à soulever le siège de Gênes, et par conséquent un pourrait juger que l'ennemi ne pourrait pas être entré dans les retranchements autres qu'au prix de soulever le siège, d'où l'on a pourrait impliquer que s'ils portaient ceci hors d'puis l'objet de la déviation doit nécessairement avoir été réalisé. On l'a également précisé qu'un double avantage pourrait être tiré de la position en laquelle nous nous sommes trouvés, en maintenant l'ennemi dans les retranchements où ils s'étaient déplacés à la couverture Exilles, et en établissant des corps de vingt bataillons sur les tailles de Cézane pour les menacer, afin d'installer pendant ce temps l'investissement et le siège de Demont, pour lequel les corps de Cézane agiraient en tant qu'armée d'observation, l'ennemi ne pouvant pas se déplacer sur Demont sans offrir vers le haut de son flanc à cette position. En conclusion, le train d'artillerie destiné à Exilles et assemblé chez Briançon était également dans la marge de Demont, et tout a semblé enfin avoir uni, tels qu'on a offert le premier but ayant été réalisé des autres qu'on pourrait essayer pour indiquer aurait couronné cette campagne. Mais tout était mortel à ce moment, dans les conséquences et en particulier dans les énormes pertes relativement à la terre disputée, qui ont été souffertes ce jour malheureux. Les troupes ont fait en ce tout que nous avons bien pour prévoir, et ainsi en récompenses innombrables reçues en termes de commissions, croix de Saint-Louis et cadeaux monétaires. Plusieurs généraux de brigade ont été créés et le roi aimablement créé pour M. de Mailly le gouvernorat dont d'Abbeville, la raison favorisent a été annoncé dans la commission. Le retour du tué et enroulé était au-dessus de 4625 hommes et d'autour 400 officiers. Seule la colonne de M. de Mailly's a perdu 1160 hommes et 268 officiers. Les officiers de la note tués étaient : M. le chevalier de Belle-Belle-Isle, général de lieutenant ; d'Arnaud, de camp maréchal ; le comte de Douges, colonel de Soissonnais ; le comte de Goas, général de brigade et colonel de Bourbonnais ; Dimécourt, colonel de Périgord ; compte de Brienne, colonel d'Artois ; de Morilles, lieutenant-colonel de Boulonnais ; La Taille, général aide-principal. Ceux enroulés étaient : Monsieur le comte de Mailly, de camp maréchal ; compte de Gouy, colonel de La Reine ; De Marcieu, colonel de Deslandes ; baron de Corsac, quarter-master auxiliaire ; de Beauregard, général de brigade et lieutenant-colonel d'apparence ; Civrac, colonel d'Aunis ; marquis de Montcalm, colonel d'Auxerrois ; Ruffé, colonel de Boulonnais ; Briannet, lieutenant-colonel de Santerre ; Bourdarien, lieutenant-colonel de Royal-Roussillon ; de Danguy, lieutenant-colonel de Périgord ; marquis de Besons, colonel de Beaujolais ; de Séguy, lieutenant-colonel de Beaujolais ; La Granville, colonel de Saintonge ; chevalier de Bazin, lieutenant-colonel de Saintonge ; Dagieu, général principal ; chevalier de Modène, colonel du royaux de grenadiers ; Colonel de M. de Mailly de Mailly.

Le régiment du Bourbonnais est présent à Toulon et en Corse vers 1768-1769. Le 'chevalier d'Arçais', Pierre Goullard, capitaine dans ce régiment, et originaire du Poitou (Niort, Arçais), fait l'objet de plusieurs plaintes pour endettement de la part de ses supérieurs et de la Trésorerie de Corse.

Le Bourbonnais était en Corse en l'année de la déclaration de l'indépendance américaine. En cette même année, 1776, il quitta cette île. En 1779, après que la guerre eût été déclarée à la France par l'Angleterre, à cause du traité d'amitié avec les États-nis et la reconnaissance de leur indépendance par le gouvernement français, il fut dirigé sur la Bretagne, occupa quelque temps tennes, passa, au mois de juin, à Brest où il s'embarqua enfin le 7 avril 1780. Il était le plus ancien des quatre régiments que le comte de Rochambeau conduisait aux États-Unis.

Cette petite armée arriva au mois de juillet à Newport et las Américains lui remirent immédiatement la garde de tous les retranchements élevés sur la côte du Rhode-Siland contre lesquels le général angaois, Clinton, qui avait dû abandonner ces retranchements l'année précédente, préparait une redoubtable expédition. L'arrivée de l'armée française la fit abandonner.

Le Bourbonnais passa l'hiver dans ces quartiers et ce be fut qu'en juin 1781 que l'armée de Rochambeau fut concentrée et réunie à l'armée américaine. Les deux armées ensamble firent route pour Yorktown, dans le sud et sur la baie de la Chesapeak.

Le 21 juillet, 2,500 jommes de l'armée de Rochambeau, les régiments de Bourbonnais et Royal-Deux-Pnts, ainsi qu'un bataillon formé des compagnies d'slited de Soissonnais, commandés par le chevalier de Chastellux, pourssèrent une reconnaissance sur Kingsbridge et forcèrent las Anglais à replier tous leurs postes. Les troupes françaises, après une marche remarquable, par une chaleur excessive qui ne put abattre leau ardeur et leur gaîté, arrivè le 15 août aux portes de Philadelphie. L'affuence des habitants, quand elles entrè dans cette ville après avoir fait une halte pour se parer, fut immense sur leur passage. Les maisons étaient pavoisées aux couleurs des deux nations, et quand les guerriers français défilèrent sous les yeux du Congrès, cette assemblée les honora de son salut fraternal er de ses acclamations. La population entière leaur fit fête.

Les troupes françaises ne s'arrêtèrent qu'un jour à Philadelphie. On apprit que la flotte du comte de Grasse venait d'entrer dans la Chesapeak. Elles se rendirent alors vers le fond de la baie où quelques compagnies s'embarquèrent. Le reste des troupes se dirigea sur Baltimore et de là sur Annapolis, où l'on trouva des bâtiments de transport. Les deux flottilles ayant parcouru la baie entrèrent dans la rivière de James, et les rériments qu'elles avaient à bord se joignirent à ceux que le comte de Grasse avait amenés des Antilles et que le marquis de Saint-Simon commandait. de général était à la tête des régiments d'Agénois, de Gatinais (bientôt nommé Royal-Auvergne) et de Touraine. Lé comte de Rochambeau avait avec lui ceux de Bourbonnais, Soissonnais, Santonge et Royal-Deux-Ponts.

Ces troupes format un effectif d'environ 7,500 hommes, réunis à autant d'Américains, vinrest le 28 septembre former l'investissement d'Yorktown. Les Français furent chargés de l'attaque de gauche, et se fut le Bourbonnais qui ouvrit la tranchée le 7 octobre 1781. Le 15 du même mois, il repoussa vigoureusement une sortie, et, le 19, Cornwallis se résigna à capituler. Le réiment occupa aussitôt tous les postes de son attaque et inscrivit sur ses drapeaux une nouvelle victoire.

Les régiments qui étaient venue des Antilles se rebarquèrent le 4 novembre; et, le 14 les quatre régiments de Rochambeau entrèrent en quartiers à Williamsbourg. Ils demeurèrent là pendant la campagne de 1782; an mois de mars 1782, ils se rendirent à Rhode-Island où les attendait la flotte de M. de Vaudreuil qui devait les ramener en France. Un des vaisseaux de M. de Vaudreuil ayant péri dans une tempête, les États-Unis donnèrent un exemple touchant de reconnaissance à la france en faisant cadeau à cette nation du premier vaisseau de guere qu'ils avaient construit, le seul qu'ils possédassent à cette époque, l'America de 74 canons.

A son arrivée en France, le Bourbonnais fut envoyé à Metz. Ce régiment perdit son ancien nom, en 1791. Il devint alors le 13e régiment d'infanterie; et le 13e régiment d'infanterie actuel, stationné à Nevers, lui fait suite.

Fait d'armes faisant particulierement honneur au régiment [modifier]
À l'honneur du régiment, il y a une reconstitution du Bourbonnais dans son service à la guerre de l'indépendance américaine dans le 1780's. Cette reconstitution américaine a été dans l'existance depuis 1980 et actuellement est composée des individus Rhode-Island, le Massachusetts et du New Hampshire.

Bonne journée !!!
Moineau25

 
Auteur : daniel57 le 16/12/2006 14:44:26
46312R3 - reponse a moineau 25
[31] Merci de toutes ces informations
je comptais faire une bonne sieste
mais je vais faire un effort pour cette lecture que
tu m'as fourni
encore merci
 
Auteur : Furax81 le 16/12/2006 15:13:33
46312R4 - 13 eme de Ligne....
....S'est Notament illustré et porte sur les plis de son Drapeaux les noms de Batailles et Campagnes suivantes:

- VERONE 1797
- HELIOPOLIS 1800
- WAGRAM 1809
- BAUTZEN 1813
- VERDUN 1916
- MONTDIDIER 1918
- SAINT-QUENTIN 1918

Joli Bouton en magnifique état !!!
Furax
 
Auteur : west x 57 le 16/12/2006 16:48:02
46312R5 - oubli
Daniel a oublié de préciser la taille : 1.5 fois plus grand que la normale, et la surface est argenté. un officier je présume...bonne journée à tous.
 
Auteur : robert44 le 16/12/2006 23:52:15
46312R6 - Bouton plat
[201] Ce bouton semble plat 'de chez plat' donc, ... d'avant 1820.
Robert.

 
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