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  Raoult VS labos Raoult VS labos  

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Auteur : priio le 25/06/2020 23:27:00
139922R0 - Raoult VS labos
Bonsoir.
Je n'aime pas trop les polémiques,j'ai d'ailleurs évité de participer à certains posts,mais là,je tenais à partager ces infos:

Conflits d'intérêts ????
Sources : Transparence Santé un site qui recense toutes les données des sommes declarées reçues par les médecins. Il y a aussi une grande enquête dans le Parisien et des infos dans Marianne et Médiapart qui en ont donné des sources. le Professeur Raoult a donné le nom de sites officiels hier dans son audition à la Commission d'enquête 'En 2018, les industriels pharmaceutiques ont ainsi versé quelque 1,36 milliard d'euros d’avantages aux professionnels de la santé' . Cette étude est aussi publiée dans le prestigieux British Medical Journal.
A lire pour connaître les dessous du scandale sanitaire de ce coronavirus...
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Voici le Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique
N°1. La Palme d’Or revient au Pr François Raffi de Nantes. 541.729 €, dont 52.812 € de Gilead. Est-ce un hasard si on nous apprend que le coup de téléphone anonyme pour menacer Didier Raoult, s’il persistait avec l’hydroxychloroquine, est parti du téléphone portable du service d’infectiologie du CHU de Nantes, dont François Raffi est chef de service ? Sûrement une pure coïncidence.
N°2. Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291.741 €, dont 48.006 € de Gilead et 64.493 € d’Abbvie. Or Jacques Reynes a été sollicité par Olivier Véran pour piloter l’essai clinique du protocole Raoult à Montpellier alors qu’il est en même temps le coordinateur national de deux études sur le remdesivir pour le compte de Gilead. Il n’avait sûrement pas eu le temps d’envoyer au Ministre sa Déclaration publique d’intérêts (DPI).
N°3. La Pr Karine Lacombe de Paris - Saint Antoine. 212.209 €, dont 28.412 € de Gilead. Elle est sur la dernière marche du podium, mais l’essentiel est d’y être. Il n’y a pas que le podium avec les Ministres à Matignon.
N°4. Le Pr Jean Michel Molina de Paris - Saint Louis. 184.034 €, dont 26.950 € de Gilead et 22.864 € d’Abbvie. Or Jean-Michel Molina est co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. Médecine et Maladies Infectieuses est le journal officiel de la SPILF (Société de Pathologie infectieuse de Langue Française).
N°5. Le Pr Gilbert Deray de Paris. 160.649€. Une belle somme pour un néphrologue qui très présent sur les plateaux télés. Attention le remdesivir peut être très toxique pour les reins.
N°6. Le Pr Jean-Paul Stahl de Grenoble. 100.358 €, dont 4.552 € d’Abbvie. A noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI. Or Jean-Paul Stahl est rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses. C’est lui qui a comparé le Plaquénil* au papier toilette.
N°7. Le Pr Christian Chidiac de Lyon. 90.741 €, dont 16.563 € de Gilead. Or Christian Chidiac est président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux Avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants et demandant d’inclure les malades dans les essais officiels (donc Discovery). Son adjointe, la Pr Florence Ader, citée ci-dessous, est l’investigatrice principale de Discovery. Pure coïncidence.
N°8. Le Pr Bruno Hoen de l’Institut Pasteur. 82.610 €, dont 52.012 € de Gilead. A noter que sur sa DPI, il a noté n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Or Bruno Hoen a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.
N°9. Le Pr Pierre Tattevin de Rennes. 79.956 €, dont 15.028 € de Gilead. A noter que sur sa DPI, comme son prédécesseur, il a noté n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Ca doit être le surmenage. Or Pierre Tattevin est président de la SPILF. Cette Société savante a attaqué l’hydroxychloroquine pour encourager les inclusions dans Discovery, ainsi que dans les autres études par tirage au sort avec des groupes de patients non traités (études randomisées).
N°10. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68.435 €, dont 4.776 € de Gilead et 9.642 € d’Abbvie. Or Vincent Le Moing pilote, avec son patron Jacques Reynes cité ci-dessus, l’essai clinique de Montpellier.
N°11. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63.873 €, dont 15.054 € de Gilead. Or Alain Makinson participe à l’étude de Montpellier avec Jacques Reynes et Vincent Le Moing. Un beau trio. Montpellier est très bien représentée.
N°12. François-Xavier Lescure de Paris – Bichat. 28.929 €, dont 8.621 € de Gilead. Or François-Xavier Lescure est l’adjoint de notre célèbre Yazdan Yazdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine. Or cette étude n’a aucune méthodologie.
N°13. La Pr Florence Ader de Lyon. 11.842 € , dont 3.750 € de Gilead. Or Florence Ader est l’investigatrice principale de Discovery.
A partir de douze, ça commence à faire un foyer épidémique !


 
Auteur : Zedruidesse le 25/06/2020 23:52:27
139922R1 - ...


Coucou Priio!...et oui...Il y a baleine sous graviers c'est pourquoi j'avais lancé le sujet...mais comme le dit ce célèbre refrain; 'c'est la monnaie qui dirige le monde,c'est la monnaie qui dirige la terre,et qu'on le veuille ou non c'est comme ça on ne peut rien y faire!'

Les labos s'occupent de notre santé...dormez bien...ZD

 
Auteur : farfadeo le 26/06/2020 00:02:10
139922R2 - a l'insu de mon plein gré !!
Lionel tout ce qui est pourri flotte !! ça remontera aujourd’hui demain ou dans dix ans......
Mais comme tu le dit si bien A partir de douze, ça commence à faire un foyer épidémique !

À défaut de nous en apprendre plus sur la réelle efficacité de la chloroquine, cette histoire permet au moins de faire la lumière sur les dessous de la science.

Malheureusement, ce n’est pas nouveau. Cette affaire n’est que le symptôme d’un monde scientifique en crise.

Mais l’épidémie de coronavirus a eu le mérite de focaliser l’attention du monde entier sur l’univers de la recherche. Et le public commence enfin à se rendre compte des limites de ce système, ainsi que de ses dérives.

La science est « polluée » par la politique, l’argent et le sensationnalisme

Aujourd’hui, la science n’est plus au service de la vérité (ou de quelque chose qui s’en rapproche). L’étude scientifique sert presque toujours quelque intérêt plus ou moins caché – et ceci à tous les niveaux.

1. Les grandes revues ne sont plus fiables

Avec cette affaire, on se rend compte que même les revues scientifiques les plus réputées, comme The Lancet, publient des informations non vérifiées. On peut se demander si elles ne cherchent pas surtout à faire parler d’elles en publiant des « bombes médiatiques », quitte à ce que ces articles soient de qualité discutable.

Les grands journaux scientifiques (Nature, Science, The Lancet, British Medical Journal…) possèdent toutes un comité de lecture. C’est-à-dire qu’un groupe d’experts évalue la qualité d'une étude afin de décider si celle-ci est assez fiable pour être publiée.

Le processus prend généralement du temps, et les auteurs doivent parfois revoir leur copie avant d’obtenir le feu vert de la revue.

Cette évaluation par des pairs est le garde-fou qui permet d’éviter que des études de mauvaise qualité soient publiées.

Avec cette récente publication sur la chloroquine, on se rend compte que cette vérification est insuffisante. Cela est en partie dû à l’urgence de la situation, qui nécessite une validation rapide.

Mais pas seulement.

De plus en plus, les travaux ne sont pas jugés uniquement sur la qualité, mais aussi sur leur « potentiel médiatique », ou encore sur des intérêts très personnels.

Un ami chercheur m’expliquait que les relecteurs, sous couvert d’anonymat, demandaient parfois aux auteurs de citer leurs propres publications dans les sources de l’étude pour améliorer leur réputation.

En 2005, le professeur américain John P. A. Ioannidis, avait d’ailleurs écrit un article cinglant sur le problème de la fiabilité des études : « Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux ».

Ce n’est pas parce qu’une étude est parue dans une grande revue que celle-ci fait forcément office de preuve indiscutable.

2. C’est l’argent qui décide de ce qui est vrai

Vous avez peut-être lu ces citations désormais célèbres d’anciens rédacteurs en chef du New England Journal of Medicine (NEJM), l’une des revues scientifiques les plus réputées au monde.

L’anthropologue suisse Jean-Dominique Michel les a partagées à plusieurs reprises sur son blog :

« Il n'est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques qui sont publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies de travail de rédactrice en chef. »

(Marcia Angeli, ancienne rédactrice en chef du NEJM)

« La profession médicale est achetée par l'industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d'enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d'être les agents rémunérés de l'industrie pharmaceutique. Je pense que c'est honteux. »

(Arnold Relman, ancien rédacteur en chef du NEJM)

Encore plus parlant, l’aveu de Richard Smith, qui a été rédacteur en chef du prestigieux British Medical Journal jusqu’en 2003 : « La plupart des études scientifiques sont erronées, et elles le sont parce que les scientifiques s'intéressent au financement et à leurs carrières plutôt qu'à la vérité. »

La recherche coûte extrêmement cher. Certaines études sont financées par des fonds publics ou par des universités. Mais les plus importantes, faites sur un grand nombre de personnes, ont souvent besoin de financement extérieur.

Voilà pourquoi autant d’études et de chercheurs sont financés par des laboratoires pharmaceutiques, qui seuls peuvent investir autant d’argent dans la recherche.

Sauf que l’industrie ne fait évidemment pas cela de façon désintéressée : les études doivent permettre de prouver l’efficacité et l’innocuité de leurs molécules, ou même parfois de montrer les dangers des médicaments concurrents.

Aussi, les labos sont parfois prêts à tout pour cela : rémunérer grassement les auteurs (soit directement, soit indirectement en organisant des colloques ou des conférences), suspendre les travaux si les résultats sont décevants, mettre en avant ce qui les arrange, faire pression sur les grandes revues, médiatiser les études qui vont dans leur sens, ou même fausser les résultats…

Aujourd’hui , pour qu’un scientifique obtienne un financement, il doit justifier l’intérêt de son étude et annoncer à l’avance ce qu’il va démontrer dans ses travaux.

Sinon, pas d’argent…

Mais ce n’est pas pareil d’avoir une équipe de scientifiques qui travaille sans savoir ce qu’ils vont trouver et des chercheurs payés pour prouver quelque chose.

En fonction de ce qu’on cherche à montrer, il est facile de faire dire tout et n’importe quoi à des chiffres. On finit toujours par trouver un moyen de présenter les données sous un jour plus avantageux.

Comment peut-on encore tenter d’être objectif dans un tel système ?

3. Les politiciens agissent dans la précipitation

Vous n’avez pas trouvé bizarre, que tout de suite après la parution de cette fameuse étude, les autorités se soient empressées de stopper leurs travaux sur la chloroquine ?

Le Ministre de la santé Olivier Véran suspend les recherches sur la chloroquine dans son grand essai européen Discovery sans attendre l’avis des spécialistes.

Idem pour l’OMS, qui suspend subitement ses recherches sur ce médicament dans le cadre de l’étude Solidarity… avant de les reprendre quelques jours plus tard quand l’étude du Lancet est critiquée.

Le ministère de la Santé retire aux médecins le droit de prescrire la chloroquine à leurs patients, même en hôpital.

Pourtant, aucun problème n’avait été signalé lors de ces deux études. Les chercheurs n’avaient pas constaté de graves effets indésirables, sans quoi ils auraient interrompu ces études plus tôt. Cette décision semble avoir été prise sur un coup de tête, en se basant uniquement sur l’étude rétrospective parue dans The Lancet.

Pourtant, même les auteurs de l’étude, dans leurs conclusions, ne déconseillaient pas la chloroquine dans le cadre d’essais cliniques, mais seulement en dehors de ceux-ci.

Les membres du gouvernement agissent-ils comme des enfants impulsifs par souci de soigner leur image auprès des électeurs ?

Ont-ils peur qu’un scandale de type Mediator salisse leur carrière ? Agissent-ils sous la pression de lobbies pharmaceutiques ? Y a-t-il d’autres enjeux financiers qui les motivent ?

4. Les grands médias cherchent à attirer l’attention à tout prix

La presse grand public ne fait plus son travail de vulgarisation scientifique. Quand on voit les articles parus ces dernières semaines (raccourcis grossiers, prises de position extrêmes, manque de rigueur…), on peut même se demander s’il existe encore de vrais journalistes scientifiques dans les grands médias officiels.

Je veux dire : des journalistes qui connaissent vraiment le sujet et qui lisent les études au lieu de se contenter des résumés fournis par l’AFP.

Quand l’étude du Lancet est parue, presque tous les grands médias se sont jetés sur le Pr Raoult comme des fauves affamés. On a vu un peu partout des phrases assassines à l’encontre de la chloroquine.

Et depuis quelques jours, c’est tout le contraire : les journaux font les gros titres en pointant du doigt les failles de cette étude.

C’est à n’y rien comprendre ?!

Les médias ne se donnent même plus la peine d’informer le lecteur avec un minimum de connaissances et d’objectivité. Ils cherchent seulement à « surfer sur la vague » du moment en trouvant des titres accrocheurs pour vendre leurs journaux.

Cela amène énormément de confusion. On ne sait plus quoi penser de toutes ces informations contradictoires.

On nous pousse alors Ă  prendre parti entre deux camps totalement imaginaires.

Il n’y a pas les gentils d’un côté et les méchants de l’autre

Avec le débat autour de la chloroquine, on a tendance à penser qu’il y a le bon Pr Raoult et les méchants qui s’en prennent à lui.

La presse aime quand les choses sont simples : elle a ainsi l’habitude de séparer les gens en deux camps qui s’affrontent : les pro-vaccins VS les antivax, la médecine classique VS les charlatans de la santé naturelle, les gens instruits VS les complotistes… On peut en trouver facilement des dizaines sur à peu près toutes les thématiques abordées par la presse.

Je suis triste de voir que certaines personnes qui prétendent informer sur la santé se servent de cela pour endoctriner les gens et les diviser.

Car la réalité est beaucoup plus complexe.

La plupart des chercheurs sont de bonne foi. Quand ils défendent ou non la chloroquine, ils s’appuient généralement sur des arguments solides.

Comme l’a expliqué récemment le Dr Raoult, il n’y a pas de consensus scientifique.

On a des études scientifiques qui disent que la chloroquine est efficace, d’autres qui disent le contraire. Toutes ont été faites dans l’urgence, avec des protocoles différents, des méthodes variées, et ont étudié le médicament sous des angles divers.

On ne peut pas dire que certaines sont vraies et d’autres fausses.

Chacune d’elles représente une part de la réalité. Une certaine perspective sur le monde, qui peut entrer en contradiction avec d’autres…

Il ne faut pas croire qu’il existe une réalité du monde que la science découvre peu à peu. Les découvertes sont sans cesse remises en question. Notre compréhension du monde d’aujourd’hui ne sera pas celle de demain.

Méfiez-vous de ceux qui se servent de la science pour justifier des idéologies ou pour dénigrer des approches de soin qui n’entrent pas dans le système actuel, comme l’homéopathie, la médecine chinoise, ou les techniques énergétiques…

Bien sûr, quand de nombreuses études montrent que telle plante ou tel médicament agit sur une maladie, il y a de fortes chances que celle-ci soit vraiment intéressante.

Mais ce n’est jamais une certitude indéboulonnable. Même si les êtres humains se ressemblent beaucoup, nous sommes tous différents et une substance peut être utile à l’un et pas à l’autre.

Les résultats des études scientifiques doivent donc toujours être validés par l’expérience et être ajustés au cas par cas.

Je ne suis pas un fervent défenseur du Pr Raoult ni de la chloroquine. Mais je défends l’honnêteté intellectuelle et une recherche scientifique sérieuse et sans conflits d’intérêts.

Le système actuel est malade. Il ne permet plus d’apporter des réponses fiables sur ce qui soigne vraiment.

Le monde de la santé doit aussi retrouver une certaine humilité, admettre qu’on ne sait pas tout et que la réalité ne repose pas uniquement sur les études scientifiques, mais aussi sur le terrain, dans les cabinets des médecins de famille, chez les naturopathes…

Heureusement, des personnes bien informées essaient de défendre cette vision plus large de la santé et pointent du doigt les faiblesses actuelles.

 
Auteur : farfadeo le 26/06/2020 00:14:31
139922R3 - avant de partir

 
Auteur : urkataz le 26/06/2020 08:53:39
139922R4 - ...
[1393]

N°3. La Pr Karine Lacombe de Paris - Saint Antoine. 212.209 €, dont 28.412 € de Gilead.

N°13. La Pr Florence Ader de Lyon. 11.842 € , dont 3.750 € de Gilead. Or Florence Ader est l’investigatrice principale de Discovery

Hier lors de son audition de karine Lacombe au conseil d'enquête parlementaire à la question et constatation Discovery est un échec ? ! Non nous aurons des résultats
Yazdan Yazdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine. Or cette étude n’a aucune méthodologie

Yazdan devrait rentrer dans le top 13
'Le remdesivir est le premier médicament contre le Covid-19 à être recommandé pour autorisation dans l’UE', a indiqué dans un communiqué l’agence basée à Amsterdam, ajoutant que cette recommandation doit maintenant être approuvée ou non par la Commission européenne.
Gilead a sans doute déjà placé ses pions au sein de la commission européenne
. Bon c'est pas le tout je retourne surveiller
 
Auteur : cromagnon 07 le 26/06/2020 12:37:57
139922R5 - re
hello
vous vous réveillez c'est pourtant pas d'aujourd'hui que cette caste est vérolée par le fric des actionnaires



 
Auteur : farfadeo le 26/06/2020 18:10:12
139922R6 - rien de nouveau sous le soleil

4. Les grands médias cherchent à attirer l’attention à tout prix.....

Sachez aussi qu'aujourd'hui les grands médias télévisuel ou journalistique adoptent une nouvelle façon de procéder , celle du clic...clic ..
Nous entrons dans une nouvelle ère , celle du sensationnel !!!
Certains très connus de tous internationalement ont mis en place un fonctionnement à base de prime......
Vous avez un salaire fixe mensuel....et des primes en fonction des clics clics internet ....twitter....et autres.....sur le sujet lancé....
Et là !!! on se retrouve plus avec une info journalistique véritable !! sur des sujet réel et important a signaler.......Mais sur du sensationnel

Et là on voit apparaître toutes les misères à sensation

Un pangolin s'est fait arracher une écaille par un chat affamé !!! que son maître laissait mourir de faim....
Le dernier top model en vogue Ă  un secret inavouable !!! ...et sexuel...
Ce couple Hollywood extraverti à une façon ignoble de faire l'amour ....
Les 3 aliments nuisible à votre organisme dépassé 60 ans ....
Et j'en passe .....
Bref vous le verrez tous ......des titres en suspend....des titres accrocheurs....
pour faire du clic ......et du clic..
VoilĂ  aujourd'hui ou on en est !!!
Et beaucoup d'entre nous clic, clic ,clics et se font mener par le bout du nez ....
Et celui qui n'est plus dans le politiquement correct .......ou tendance.....Ă  l'information (Ă  la page)...
Sera inévitablement à la traîne.... hasbeen...mis dans une case !! peut importe la case...mais il sera catalogué, et en dehors de la réalité .....


L'information Ă©volue..... change......en fonction de son temps et des contextes.......
Dans les années 70 , sur RFI (radio france info) le champagne pouvait être bu au petit déjeuner pour éviter le cancer et la grippe hivernale.......1 minute 30 de propagande débile pour vendre du champagne......



 
Auteur : pascalusdudix le 26/06/2020 20:39:09
139922R7 - ...


Farfadeo.... A propos du champagne... j'imagine que le journaliste, improvisait...
Bien que...

Dans les années 40, contre la grippe, ici dans le 10, les enfants, avant de partir à l'école, en plein hiver, prenaient un bol de vin blanc.. (en Bretagne c'était peut-être autre chose !!! )
Finalement, ici, c'Ă©tait du champagne sans les bulles !!!!!

Il n'y avait pas de vaccin....
Pas de professeur Raoul !!!
Pas de 'sibĂŞte' pour les bons conseils !!!!

Et Finalement !!!!
Les enfants ont survécu !!!!!

Un ? Une génération d'alcooliques !!!!

ET BEN LA VOILA LA SOLUTION !!!!!!
Contre la covid...

TOUS AU PINARD !!!!




 
Auteur : Moriganne le 26/06/2020 21:46:51
139922R8 - ...


Bon, je suppose qu'on attend une réaction de ma part ?

Je crois que beaucoup de gens (vous, moi, le commun des mortels, quoi....) qui n'ont pas le pied dans une profession scientifique n'ont AUCUNE idée de la manière dont fonctionne la recherche. Ca n'est pas un mal en soi : on ne peut pas tous être spécialistes de tout. Par contre on a le droit de se renseigner sur un sujet lorsqu'il nous interpelle. C'est ce que j'ai fait (ce que nous sommes nombreux à avoir fait, je crois) depuis quelque mois. Honnêtement, qui avait déjà entendu parlé de D. Raoult avant janvier dernier ? levez la main sans tricher...

Encore faut-il s'adresser à des sources fiables d'information, et là encore, on n'est pas tous égaux. On est constamment biaisés par ce que l'on a envie de croire, par la manière dont on CROIT que les choses fonctionnent, par nos conviction politiques ou spirituelles...

Il est difficile de se renseigner objectivement, sans parti pris. Ma méthode, c'est d'écouter, d'interroger des gens du métier. de collecter les informations à différentes sources. Mais surtout, d'observer la façon dont les gens parlent de leur boulot.

D. Raoult a tout de suite allumé un voyant rouge dans ma tête la première fois que je l'ai entendu parler : trop sûr de lui. Un scientifique n'est jamais certain à 100% de ce qu'il avance : il est bien placé pour savoir que la connaissance évolue avec le temps. Mais bon, à la limite, on peut envisager que l'expérience dans son domaine lui a permis de conforter certains de ses résultats. Sauf que...

-D. Raoult est virologue, certes, mais en se penchant sur sa carrière, on se rend compte que sa spécialité (dans les années 90), celle où il excellait vraiment, c'était la recherche sur les microbes à l'origine du typhus. On sait aussi qu'il s'est intéressé très tôt à la chloroquine : il a publié des papiers sur son utilisation pour soigner Ebola (échec : la chloroquine aggrave les symptômes), la grippe, et même le SIDA (échecs là encore : la chloroquine renforçait la charge virale des malades). Malgré tout, il s 'est accroché à son remède miracle pendant des années... jusqu'à l'épisode du Co-vid19. Il avait raison : un médicament peut être nocif dans certains cas et bénéfique dans d'autres... mais pourquoi cette marotte, spécifiquement ?

-Au cours des années 2000, coup dur : D. Raoult est interdit de publication auprès de plusieurs scientifiques de renom après qu'il ait été révélé qu'il avait systématiquement truqué les résultats de ses études.

-Grâce à de nombreux appuis politiques, il est nommé directeur de l'IHU de Marseille : désormais, son travail ne relève plus de la recherche ni du soin (il n'a probablement plus croisé un patient depuis des années) mais de la gestion de ressources humaines et d'une véritable entreprise. Il tient plus désormais du PDG que du chercheur. Par contre, il tient à systématiquement signer les papiers publiés par ses équipes de chercheurs, parfois même, de son propre aveu, SANS LES LIRE. Un peu comme si la ministre de la recherche signait elle-même les articles publiés par tous les chercheurs français, quelle que soit leur discipline....Pourquoi fait-il cela ? Déjà, parce que c'est une pratique très courante, il est loin d'être le seul à le faire : en effet dans le monde de la recherche en Europe, plus vous publiez, plus votre réputation grandit. Cela n'a rien à voir avec la qualité de ce que vous publiez : juste avec le nombre d'articles. D Raoult en est à une moyenne de 3 ou 4 articles par semaine. C'est là dessus, et UNIQUEMENT là-dessus, qui se base pour affirmer qu'il est le meilleur dans son domaine. Pourtant...

-Le CERN a retiré son appui financier à l'IHU de Marseille après avoir constaté que l'immense majorité des études qui y étaient menées...n'avaient aucun intérêt médical. On parle de 96% d'études qui ne servent à rien, mais qui coûtent cher... pourquoi ? pour la gloriole, pour gonfler artificiellement le nombre d'articles publiés...

-En revanche, sur la page des partenaires de l'IHU, on compte toujours de gros labos pharmaceutiques, comme Sanofi (producteur de la chloroquine, tiens tiens...), l'institut Merieux, Qyagen et compagnie... j'ai déjà eu l'occasion de le dire dans un précédent post, c'est NORMAL que la recherche soit EN PARTIE financée par les labos. Feriez-vous confiance à un médicament produit sans qu'on en ait évaluer l'efficacité et l'innocuité en amont ?

Ce qui est anormal, c'est l'attitude de Raoult qui pointe les supposés conflits d'intérêts de ses collègues en s'érigeant lui même comme un pourfendeur du pouvoir politique et des labos... alors que ce sont eux mêmes, les politiques et les labos, qui l'ont mis là où il est actuellement !
Ce faisant, il utilise un procédé de rhétorique malhonnête bien connu : la technique du chiffon rouge. 'Oh, regardez là-bas, un scientifique sans doute corrompu, BOOOUh'. Ce qui est inquiétant, c'est que personne, à l'assemblée, et personne, parmi les journalistes qui l'ont interviewé, n'a songé à relever cette énormité. Cet homme bénéficie d'une complaisance extrêmement suspecte à mes yeux.

Aujourd'hui, il est de plus en plus certain (rappelez-vous, jamais de certitude à 100% en sciences) n'a, au mieux, pas d'effet notable sur le co-vid 19. On aurait pu s'en tenir là et chercher d'autres molécules actives. certaines équipes ont tenté de le faire. Actuellement, une molécule corticoïde MOINS CHERE que la chloroquine est à l'essai (mais curieusement, elle semble avoir été totalement ignorée du fameux professeur). Elle ne bénéficie par de la même aura médiatique que la chloroquine, et peut-être se rendra-t-on compte finalement qu'elle n'a pas d'effet non plus, ou qu'elle s'avère nocive pour les malades du co-vid...le problème, c'est que la recherche mondiale a perdu beaucoup de temps à tester la chloroquine, pour rien, juste parce que ce monsieur faisait suffisamment de bruit, et était suffisamment relayé par les politiques et les médias, pour que certains commencent à croire en son efficacité.
Un exemple :
Dans les hôpitaux de Strasbourg, on a vu arriver des malades dont les médecin traitants avaient prescrit le 'protocole Raoult' dès les premiers symptômes pour tenter de contrer la maladie. Juste parce qu'ils avaient entendu dire que cela pouvait fonctionner. Ces patients avaient donc reçu le traitement, mais leur état s'était aggravé (à cause du traitement ? ou peut-être juste parce qu'il n'était pas efficace ? on n'en saura rien malheureusement) au point qu'ils ont dû être hospitalisés. Or, les hôpitaux de Strasbourg expérimentaient d'autres molécules contre le co-vid : et les patients traités à la chloroquine ayant déjà reçu un traitement (même inefficace) ne pouvaient entrer dans les groupes de tests ou de contrôle. On s 'est donc retrouvés en manque cruel de sujets qui auraient pu faire avancer la recherche plus rapidement...

-Le professeur Raoult compte ses 'ennemis', leur trouvant à tous tous les défauts du monde (conflit d'intérêt, mauvaise foi, jalousie ou simple nullité dans son domaine où LUI est forcément le meilleur). La réalité, c'est qu'à l'heure actuelle, ses soutiens scientifiques se comptent sur les doigts d'une main : L'ancien ministre de la santé Philippe Douste Blazy (que Raoult avait placé au conseil d'administration de l'IHU de Marseille, il s'agit donc d'un simple renvoi d'ascenseur !); le Pr Perronne, qui ne bénéficie lui-même plus d'aucune crédibilité scientifique depuis qu'ils 'est mis à faire la promotion de pseudo-médecines (il est d'ailleurs poursuivi par le conseil de l'ordre des médecins); un certain Jean-Dominique Michel, qui se présente comme anthropologue de la santé, mais qui n'a jamais publié aucune étude (vérification faite dans Google Scholar), et qui en revanche a publié des bouquins assez WTF comme par exemple 'Chamans, guérisseurs, médiums - Les différentes voies de la guérison '... ça se passe de commentaire.

D. Raoult a un talent : il a parfaitement compris que le monde de la recherche n'était pas pur et innocent. Oui, les conflits d'intérêt existent, le copinage politique existe, la fraude existe, la course à la publication sans vérification préalable des données existe. Et, puisque cela existe et se fait, il n'a eu aucun scrupule à s'en servir pour propulser sa carrière... et arriver où il en est aujourd'hui, au risque de se brûler les ailes. Parce que, tant qu'il n'était pas connu en dehors de sa spécialité, les choses pouvaient passer inaperçues. Mais maintenant qu'il est un personnage public, que sa mégalomanie galopante l'a amené au point de non-retour, il est pris au piège : le public ne lui pardonnera rien. Je crois qu'il en est de plus en plus conscient, et que c'est cela qui le rend de plus en plus agressif et péremptoire dans ses interventions: la meilleure défense, quand vous n'en avez pas, c'est l'attaque. J'ai bien peur que sa carrière se termine en queue de poisson désormais... à moins que ses amis politiques n'interviennent pour le sortir de ce pétrin, il est très, très mal engagé.
 
Auteur : olive le 26/06/2020 22:05:28
139922R9 - 139922R8
Merci Moriganne pour cette réponse argumentée qui nous change du discours complotiste habituel....
 
Auteur : urkataz le 26/06/2020 23:50:13
139922R10 - ...
[1393]
Si vous avez des insomnies . C'est un peu long a lire mais cela explique bien ce qui nous pend au nez . Alors le professeur RAOULT est sans doute mégalomane mais loin d'être idiot Chacun en pensera ce qu'il voudra

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/060520/le-remdesivir-l-industrie-pharmaceutique-et-la-crise-du-covid

 
Auteur : priio le 26/06/2020 23:51:21
139922R11 - re
Merci pour la qualification de discussion de comptoir pour ce qui est de la collusion avérée entre finance pharmacologique et pseusdo études que tu défends...

Olive+hell+,je te respectes en tant qu'expert des monnaies de Marseille,mais pour ce qui est du domaine médical,même si tes tes connaissances en la matière qui sont bien au delà des miennes,évite de cracher dans la gueule de ton prochain,là ou tu n'a pas la science infuse...car si tel étais le cas,ben tu serai prix nobel...
Moriganne:
Belle diatribe,mais relativement stérile..
Tes convictions sont plutôt solides mais elles ne répondent pas à ce qui était au départ mon post à avoir la collusion entre finance et médecine:

comment peux-tu donner la moindre once de vérité à ceux qui se goinfrent de pognon pour des pseudo publications répondant à des impératifs financiers...(à part de dire que le chien ne mord pas la main qui le nourrit,je ne voie pas?...)
Bref,pour info je suis fils de prof,mes deux belles-soeurs le sont également(désolé pour le pluriel,il était volontaire...)et si je dois compter mon entourage(je suis cerné...)tu en as une trentaine au bas-mot,...
je ne vais pas disserter sur le mode de la pensée unique,mais sincère,abstient-toi de faire la leçon sur des domaines que tu ne maitrises pas(une foi n'est pas coutume...).
Tiens-t'en aux faits,sans préjugés ,et évites de me balancer dans ma face toutes tes recherches à charge,sans tenir compte du sujet initial:
celĂ  s'appelle un hors -sujet,pour info...0/20
Pour rappel des ceusss qui n'auraient pas compris,j'explicationne:
c'est juste un élément de compréhention de la relation entre lepôgnon et les gens qui cherchent à vendre leurs molécules et les Professeurs qui ingurgitent le pognon pour vendre des molécules...

Surprenant comment l'intelligence peut se déliter face à des Faits...

L'instinct grégaire peut-être???
 
Auteur : priio le 27/06/2020 06:57:53
139922R12 - re
J'ai été trop virulent dans mes propos en R11.
Mea culpa!

 
Auteur : archeoplus le 27/06/2020 08:32:36
139922R13 - ,
[1945] Boum.
Je reviens jeter un oeil sur le forum, et je vois que les choses n'ont pas changé avec ce bon professeur Raoult, et son impact sur les esprits.
Je regrette vivement la polémique dans laquelle je m'étais engagé, j'ai eu des mots féroces envers quelqu'un de sincère.
Assurément, les labos pharmaceutiques doivent faire du pognon, mais ils sont indispensables. Quand ils seront tous en Chine, on sera encore plus mal. Et on a un besoin impératif de la recherche pharmaceutique, malgré les ambigüités du contact public-privé.
Et assurément aussi, certains professeurs de médecine et certains décideurs dans le médical ne sont pas désintéressés.
Moriganne a raison, le professeur Raoult utilise ces failles avec une grande habileté, et à son profit, avec les risques que cela comporte. Je vais un peu parler de moi.
J'ai très longtemps été administrateur d'une association nationale reconnue d'utilité publique en lien avec le médical et une maladie touchant les enfants. Elle a beau être d'intérêt public, les aides publiques sont très insuffisantes. Les labos ont besoin de l'association pour recueillir des données et accéder à des familles dont les enfants sont volontaires pour participer à des études et des essais thérapeutiques. En contrepartie, les labos aident financièrement l'association. Aucun administrateur n'a jamais tiré un profit personnel de la situation. Je préfère même ne pas savoir de combien j'y ai été de ma poche pendant ces années de bénévolat. Pourtant, un rapporteur de la commission Santé à l'Assemblée Nationale a eu des soupçons, pour ne pas dire qu'elle (c'était une femme) a
porté des accusations blessantes. J'ai dû me justifier, et justifier longuement l'association auprès d'elle. Elle a été convaincue, mais sans bien sûr s'excuser. Cela fait mal, et laisse des traces indélébiles. Alors, s'il vous plait, réfléchissez une seconde avant de proclamer 'tous pourris'.
Revenons à la chloroquinine. Mon épouse est médecin de santé publique, avec une longue expérience en épidémiologie... et avec des règles morales très strictes.
Quand Raoult a annoncé son traitement miracle, j'étais heureux, comme tout le monde.
Elle m'a expliqué les règles du jeu. J'ai réalisé qu'il ne fallait attendre au mieux qu'une légère amélioration (elle ne s'est d'ailleurs pas manifesté), et que Raoult était au service de son immense avidité de notoriété. Il a réussi dans ce domaine autrement mieux qu'au plan médical. Maintenant, on ne parle plus des bienfaits de la chloroquinine, mais le professeur Raoult surfe sur la vague du complotisme pour masquer son échec médical, et faire oublier la vague folle d'espoir qu'il avait suscité. S'il faut corriger certains excès, ce n'est pas ainsi que l'on y parviendra. Superbe manipulation.
Que tout cela est triste...


 
Auteur : olive le 27/06/2020 10:40:51
139922R14 - 139922R12
Bonjour Lionel,
j'ai hésité à te répondre, le point de Godwin ayant été dépassé.

Le sujet est devenu tellement passionnel qu'il n'est plus possible de discuter sereinement.
Mais pour info j'ai parlé de complotisme et non de comptoir.

Le PR Raoult ne travaille pas gratuitement et comme l'a dit Moriganne on peut lui reprocher les même 'collusions' (même si je n'aime pas le terme) que celles que tu dénonces.
Le monde de la recherche médicale et des labos fonctionne comme tous les domaines, avec de l'argent. Payer ses employés, ses locaux, son matériel, payer les patients en contre partie d'essais thérapeutiques et payer des praticiens pour les études. Bref la vraie vie ......
quand tu Ă©voques des pseudos publications tu peux y inclure celle de Raoult
et tout particulièrement la première :
Essais sur 27 patients et on sort de l'étude ceux qui ne correspondent pas ce que l'on attend. C'est facile d'avoir de bons résultats !!!!!
Je ne suis pas et je ne serai jamais prix Nobel, par contre des Ă©tudes il m'arrive d'en lire quelques unes......
Pour sa deuxième étude : âge moyen de la population suivie 43.3 ans quand tu sais que l'âge moyen des patients mort de la Covid est de 83 ans, si tu ne comprends pas qu'il a erreur de casting !!!!!

Bref seuls Doust Blazy (membre du conseil d'administration de lHU tient donc) et Peronne le défendent encore.

Remarque vu les boulettes qu'il nous sort depuis le début de la crise sans même parler de la Chloroquine.
Pour rappel
- En janvier : le coronavirus est un problème asiatique.
- Il n'y aura pas plus de morts en Italie que d'accidents de trottinette
- Il n'y a mĂŞme pas 500 morts dans le grand est c'est peu probable que l'on arrive Ă  10000 morts en France.
Il y a peu de cas en Afrique car ils prennent de la Chloroquine (celle ci il fallait oser).
- le confinement ne sert Ă  rien.
- Le risque d'une deuxième vague est 'fantaisiste' ; l’histoire de rebond est une fantaisie inventée à partir de la grippe espagnole', on notera un petit retournement d'avis il y a quelques jours (tu me diras il n'y a que les c.ns qui ne changent pas d'avis)......

Bref un vrai visionnaire comme il se plait Ă  le dire.......

 
Auteur : priio le 27/06/2020 11:15:28
139922R15 - re
Bonjour Olive.

Je regrette ma réaction excessive qui est due à la déviation de mon post initial que je n'ai pas appréciée.

Je suis totalement d'accord avec toi pour ce qui est des 'boulettes',il ferai mieux de s'abstenir de ce genre d'affirmations péremptoires.

En revanche,je ne te suis pas sur l'âge moyen:
en effet celui-ci correspond quasiment à l'âge moyen de la population Française,ce qui me semble justifié car il ne s'agit pas d'une étude gériatrique...

Pour ce qui est de mon post initial:

bien évidemment,les sponsorings sont nécessaires au fonctionnement des unités de recherches,mais là encore tu dévies du sujet initial puisqu'il s'agit de rémunérations personnelles,ce qui est quand-même différent.
Et ce que je voulais mettre en avant,ce sont des doutes quant-à l'impartialité de personnes payées directement par certains labos,labos qui sont partie-prenantes dans ce gros business...

 
Auteur : archeoplus le 27/06/2020 11:55:41
139922R16 - ,
[1945] Priio, une précision.
Les chefs de service hospitaliers ne sont pas tous vendus aux labos. Voici comment cela marche. Quand un service hospitalier participe à une étude menée par un labo, celui-ci verse une contribution au chef de service. Celui-ci la garde pour lui, partiellement ou entièrement (c'est plutôt l'exception), ou l'utilise pour acheter du matériel de recherche que l'hôpital lui refuse, et verser des primes à ses collaborateurs qui ont contribué à l'étude. L'argent venant des labos est maintenant très contrôlé. Ceux qui l'ont conservé pour eux le déclarent (ils ont d'autres procédés pour les déductions fiscales...), et ceux qui l'ont utilisé pour leur service hospitalier ne le déclarent évidemment pas, ou alors la seule partie symbolique gardée pour leurs propres frais. Seulement, c'est facile pour les journalistes (et le professeur Raoult, qui fait un peu mine de confirmer tout en connaissant le fonctionnement), de crier à la collusion et de dénoncer 'les sommes perçues des labos par les chefs de service, et qu'ils ne déclarent pas'. Déclarerais-tu de l'argent que tu n'as pas gardé pour toi ? Bien sûr, les intéressés seront en mesure d'apporter les justificatifs de l'utilisation de cet argent, mais leur défense n'intéressera personne, et les très éventuels démentis seront inaudibles. Par contre, des réputations resteront durablement salies, et les tenants du 'tous pourris' se seront régalés.


 
Auteur : olive le 27/06/2020 11:56:58
139922R17 - 139922R15
Le sujet étant tellement 'viral' qu'il est difficile de communiquer dans la sérénité.

La connaissance de la maladie a énormément évolué en quelques semaines.
On sait actuellement que c'est à de rares exceptions près une maladie de 'vieux' et d'obèses.

Si tu veux faire une étude randomisée globale bien sûr tu choisiras un échantillon de la population générale, mais Inclurais tu des enfants pour étudier les effets d'une molécule sur la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson ??? Non bien sûr car ce n'est pas la population à risque de la maladie.
En dehors du fait que le Pr Raoult n'ai pas fait d'étude avec un groupe témoin, uniquement observationnelle et non randomisée, il a pris massivement dans son étude des personnes qui de toute façon auraient survécu à la maladie. D'ailleurs ses chiffres de mortalité (dont il se gargarise à chaque intervew) ne sont pas meilleurs que ceux de L'Islande qui n'a pas utilisé de l'hydroxychloroquine.

Regarde ce qu'il se passe au Brésil qui 'fait du Raoult', (pas de confinement et usage massif de Chloroquine)........

La science n'a jamais été faite de croyances et d'intuitions, mais de preuves...
 
Auteur : urkataz le 27/06/2020 13:45:04
139922R18 - ...
[1393] Ă  tous
Je souhaiterais dans la mesure du possible avoir l'avis objectif de nos conseillé(ère) scientifiques du forum sur cette recommandation.. Bien entendu celle ci reste pour l'heure soumise à l'approbation de la commission européenne et de l'ANSM
Dans son communiqué du 25 juin 2020, l'EMA précise que le remdesivir est recommandé pour une 'autorisation de mise sur le marché conditionnelle'. Il s'agit d'une autorisation spécifique qui vise à faciliter l'accès précoce à des médicaments répondant 'à un besoin médical non satisfait, y compris dans des situations d'urgence en réponse à des menaces pour la santé publique telles que la pandémie actuelle'

Bien évidemment cet avis reste indépendant de toutes rémunérations de ma part ou d'un laboratoire quelconque .
 
Auteur : detector17 le 27/06/2020 21:09:39
139922R19 - t'aing ! tous ces 'scientifiques ' !!
[1429] ! Oh pu'taing !!!!
j'ai lu tout ces posts sur le forum et je ne pensais pas que ce forum était alimenté par autant de 'scientifiques ' que dis-je d’éminents professeurs et autres pointures...du coronavirus !! ah !! la France et tout ces français qui on réponse à tout ... je comprend pourquoi nous ne décollons jamais quand les autres pays d'Europe, arrivent à remonter la pente... le mal est bien Français ...
C'Ă©tait mieux av... ah ben non ....
Mais ce n'est que mon point de vue !!
PS; ma mère de 87 ans à chopée la grippe de 1957 dite la grippe 'asiatique', avec une température de 41 ° pendant 3 jours, à l'âge de 23 ans et elle me racontait que cela n'avait rien déclenché de si terrible en France !! et pour info cette grippe avait fait environ 100 000 morts en France ...
Autre époque ... autre point de vue..... et n’oublions pas la grippe de Hong Kong de 1969 qui avait fait environ 30 000 morts .....
Bonne soirée...



 

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