Auteur : bidouille  le 02/04/2020 15:50:00
n°139276R20 - UP |
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Auteur : archeoplus le 02/04/2020 18:33:15
n°139276R21 - , |
[1945] Bonjour Bidouille,
Ce document présente le véritable intérêt de donner une datation (première moitié du XVIème siècle). Attention, dans ce cas comme dans bien d'autres pour les objets retrouvés en fouille, il s'agit de la date d'abandon, parfois un peu postérieure à la date d'utilisation. En ce qui concerne l'attribution (clavandier), elle reste une 'déduction' de l'auteur. L'objet, d'ailleurs hors d'usage, n'a certainement pas été trouvé en position sur une ceinture, comme cela pourrait être le cas dans une inhumation habillée.
Donc, pour moi, on reste dans le pur domaine de l'hypothèse, mais avec la confirmation d'une datation que nous avions déjà à peu près déterminée C'est déjà beaucoup.
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Auteur : Did le 02/04/2020 19:31:47
n°139276R22 - --°°-- |
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Auteur : archeoplus le 03/04/2020 08:19:10
n°139276R23 - , |
[1945] Bonjour Bidouille.
Did, je reconnais que le pendant de sous-gorge de cheval est une hypothèse sérieuse depuis que Alice a montré cette superbe aquamanille médiévale avec un cheval portant un objet proche; on aurait alors le 'lien manquant' entre de tels pendants de sous-gorge médiévaux, et les pendants de sous-gorge en lunule de la période napoléonienne.
Mais ce qui me gêne, c'est que pour beaucoup, ces objets ont manifestement été manipulés. On a adapté, resserré ou écarté à la main les 'pinces' de cet objet, au risque parfois de finir par le casser. Cela correspondrait mieux à l'hypothèse d'un 'saute ruisseau', ou d'un autre objet servant à retenir des vêtements compliqués et malcommodes du début du XVIème siècle. Quoi qu'il en soit, cet objet à la fois mystérieux et assez commun ne devait pas être visible aux regards, sinon il apparaitrait forcément sur des tableaux, eaux-fortes, dessins ou autres représentations détaillées de cette période.
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Auteur : La Hire 86 le 03/04/2020 21:37:52
n°139276R24 - ... |
[1937] bonsoir à tous
je ne peux malheureusement pas être d'une grande aide mais Archeoplus parle d'une adaptation de l'objet pour être plus efficace ,et il est vrai comme le pense Did qu'il est difficile de suspendre ou de tenir quoi que ce soit dans cet objet, et vu le nombre conséquent retrouvé ; pourquoi 'les fabricants ' n'ont-ils pas modifié leur objet plus tôt ? et pourquoi ne retrouvons pas des objets similaires plus fonctionnels ? a+
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Auteur : archeoplus le 04/04/2020 11:28:07
n°139276R25 - , |
[1945] Bonjour Bidouille,
C'était une très bonne idée de réunir tous les posts sur notre objet mystère.
Il est enfin possible de l'identifier, sans même en avoir la preuve par un ancien dessin ou autre.
Cet objet a été assez commun, et présent un peu partout en France dans le XVIème siècle, peut-être jusqu'au début du XVIIème siècle.
Cet objet a été très sollicité et manipulé, on voit souvent que les branches ont pu être retordues à la main, les traces un usage prolongé sont parfois flagrantes (bélière usée...).
C'était un objet usuel, mais nullement ostentatoire. Si les têtes de dragon sont détaillées sur certains exemplaires, ce n'est généralement pas le cas. On a toutes les caractéristique d'un accessoire vestimentaire lié à une mode, mais un accessoire non visible, comme l'atteste aussi l'absence de représentation connue. Le XVIème siècle nous a habitués aux petits accessoires vestimentaires métalliques liés à la mode, que ce soit les crochets de col, les éléments de demi-ceint... Au pif, je dirai que cet objet fait plus masculin que féminin.
Il reste à regarder la tenue vestimentaire masculine de cette période: un pourpoint (veste moulante), un haut de chausses (sorte de jupette plus ou moins bouffante), et des chausses, de longs bas qui couvraient toute la jambe.
Comme Wiki le rappelle, le justaucorps 'se porte avec des chausses et comporte un moyen de fixation pour les attacher dessus'. Quel moyen ? Mystère et boule de gomme. C'est dissimulé par le haut de chausses. Maintenant, ce moyen devait permettre un déboutonnage, dégrafage ou décrochage facile des deux chausses. Le moyen de fixation des chausses devait se trouver sous le justaucorps, à sa base. Il devait être possible d'y accrocher chaque chausse par une bride de tissu (une dragonne, quoi).
Les bélières du XVIème siècle sont toujours 'inversées', perpendiculaires à l'objet suspendu. Mais pas pour notre bidule. On hésitait même à lui attribuer cette période à cause de cela. Or, pour un objet serré contre la peau, il valait mieux pas avoir une bélière inversée. Maintenant, je me trompe peut-être. J'avais d'abord pensé à un accessoire vestimentaire féminin, par exemple pour tenir en place les vertugadin (les crinolines de l'époque). Mais la mode féminine est bien mieux connue que la mode masculine. Une attache de chausses d'avant les élastiques, pour les mecs au temps où ils avaient des bas et des jupettes, cela me semble infiniment plus plausible.
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Auteur : azertyban le 28/05/2020 15:07:51
n°139276R26 - merciiiiiii |
  Bidouille
Un grand merci a toi pour ce succulent cadeau que tu m'a envoyé. 
Après y avoir goûter lors du rassemblement 'week end gastronomique 1 ' organisé chez et par Mr Farfadeo que je salut au passage,
J'en ai cherche par chez moi mais je'n'en avait pas trouvé en bloc, seulement en tranche.
Maintenant, on va suivre ta recette et après prendre l'apéro en en pensant a toute l'équipe de gai lurons que j’espère retrouver cet été.
bises a Mme moriganne
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Auteur : bidouille le 28/05/2020 18:59:58
n°139276R27 - comme promis en R0 |
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Auteur : farfadeo le 11/07/2020 22:57:08
n°139276R28 - peut être du nouveau |
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Auteur : bidouille le 11/07/2020 23:11:30
n°139276R29 - ;-) |
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Auteur : farfadeo le 11/07/2020 23:21:55
n°139276R30 - okkkééé , j'avais pas vu ...... |
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Auteur : archeoplus le 12/07/2020 06:40:02
n°139276R31 - , |
[1945] Bonjour Bidouille,
La trousse de médecin de Paris serait une piste convaincante si, dans son contenu, on ne trouvait pas notamment une boucle de la fin du Moyen Âge (MA 101, 102 de l'Histoire en Boucles).
Cette découverte ancienne (1880) a manifestement été 'améliorée' avec des objets ajoutés.
Je suis convaincu que c'est malheureusement le cas de notre objet mystère.
Aujourd'hui encore, les intrusions d'objets récents, ou pas, par les trous de mulots, bouleversements non repérés à la fouille ou facéties de stagiaires, sont légion dans les savantes stratigraphies des archéologues.
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Auteur : Peyre le 12/07/2020 23:51:49
n°139276R32 - Mystère ? encore mystère |
[1903] TIENS, et pourquoi ne ne serait-ce pas des NASIERES EN TENAILLE un instrument bien utile pourr guider des taureaux en déplacement ?
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Auteur : Augraiduvent le 17/09/2020 19:41:59
n°139276R33 - ! |
Source: REVUE ARCHEOLOGIQUE DE PICARDIE Trimestriel 1/2 - 2015
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mais après le confinement. 
...! Il a pas fini de faire
( caducée d'hermès et serpent d'Asclépios)....symbole de la médecine...
.....moi qui révait d'un bon colis 