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Auteur : Marsupilami le 30/09/2017 15:54:01
134052R0 - L'ultime cible
Bonjour à tous
Il y a bien longtemps que je n'étais pas venu vous saouler avec une de mes histoire sans fin .
Cette histoire a elle même une histoire qui commença le jour ou l'indien posta un message demandant aux vieux de ce forum dans quelle arme ils avaient fait leur service militaire.
Après avoir répondu, je me suis rendu compte que l'histoire qui suit me trottait dans la tête depuis le jour ou, avec mon ami Janus et madame Marsu, en furetant avec nos détecteurs, nous avions découvert un endroit rempli de munitions avec leurs chargeurs, de baïonnettes et même une grenade et inconsciemment, j'avais remarqué que cela aurait pu faire un excellent poste de tir pour le sniper que j'avais été. Alors, si l'histoire qui suit n'est pas autobiographique ce n'est uniquement dû qu'aux circonstances politiques de l'époque qui m'ont permis de rentrer chez moi sans avoir à gérer des cauchemars d'un autre temps.
Il fallait que cette mise au point soit faite pour éviter toute polémique et je vous souhaite une bonne lecture. Comme pour tous mes autres récits, celui ci étant relativement long, ceux qui n'auront pas le courage ou bien pas l'envie de le lire peuvent zapper maintenant..+

La pointe de la lunette de tir se promène dans la cour de cette ferme écrasée par le soleil. De temps à autre, elle se pose sur une silhouette et la suit un instant dans sa course avant de chercher une autre forme mouvante. Seul, le canon du fusil de précision bouge de quelques millimètres sous le filet de camouflage. Le tireur est arrivé cette nuit après une marche d'approche de quinze kilomètres sous le couvert des arbres. Il a été parachuté à la nuit noire et à l'endroit exact qui était prévu. Les longues heures à étudier les cartes et les photos aériennes ont été payantes car il a rejoint sans problème l'endroit qu'il avait choisi avant cette mission non sans avoir soigneusement camouflé son parachute afin que personne ne puisse deviner sa présence. Il a découvert au beau milieu du bois qui domine la petite vallée avec une ferme en son centre, un minuscule replat presque horizontal entre deux souches d'arbres et il s'est installé après avoir étendu un filet de camouflage sous lequel il s'est glissé. Avec sa tenue de combat ainsi que son arme toutes deux recouvertes de bandelettes de tissu vertes, marrons et ocres qui cassent totalement sa forme, il se fond parfaitement dans le paysage et ressemble plus à un vieux tronc d'arbre moussu qu'à un homme. Il a posé à coté de lui sa musette des troupes aéroportées qui contient tout ce dont il aura besoin; une gourde de deux litres remplie à ras bord d'une eau légèrement citronnée, des fruits secs, des barres énergétiques et un tube de cachets contre la douleur. Dans les poches latérales il y a d'un coté plusieurs pains de plastic et dans la poche opposée, des détonateurs dans leur boite anti chocs, des mèches lentes et des cordeaux explosifs. Au fond du sac, un second filet de camouflage qui pourrait lui être utile. Pas de munitions. Il a un chargeur plein de dix étuis engagé dans son fusil. Il n'aura besoin que d'une seule cartouche, éventuellement deux pour doubler et assurer ainsi son tir mais les autres ne sont là que par habitude. Si d'aventure, il devait se servir de son arme après avoir rempli sa mission, cela signifierait qu'il a failli quelque part et qu'il n'est pas loin de la capture. Il s'est approché discrètement comme on lui a appris à le faire, en prenant soin de respecter toutes les dispositions pour ne pas se faire repérer et, comme le lui répétaient sans cesse ses instructeurs il avait appliqué le procédé mnémotechnique du FOMECBOTS. F pour forme qu'il avait cassé avec un maquillage sur le visage et son filet individuel sur le corps, O pour ombre en fonction de la position du soleil, M pour mouvement qu'il devait limiter au maximum quand il serait sur sa position idéale, E pour éclat et il avait veillé à ne rien porter qui puisse refléter la lumière et même sa montre en plastique kaki était cachée par un bandeau élastique, C pour couleurs mais sa tenue de combat était en harmonie avec le milieu, B pour bruits qu'il évitait en restant immobile, O pour odeurs comme une cigarette ou bien une eau de toilette trop forte, T pour traces qu'il avait pris soin d'effacer en arrivant et enfin S comme silhouette qu'il avait dissimulée avec des branches et des plantes ressemblant à des fougères en plus de sa tenue.

Son objectif est là, dans la vallée qu'il surplombe, quelque part sous ses yeux mais il sera difficile à définir car tous les soldats qu'il voit se promènent sans distinction de grade et personne ne salue personne pour ne pas indiquer une quelconque hiérarchie.

Sa mission est d'éliminer un officier supérieur, ce qui aura pour conséquence de désorganiser les forces ennemies déjà au bord de la rupture et hâter ainsi leur défaite. Il avait espéré qu'il n'aurait plus à se retrouver une fois encore dans cette position et que la guerre prendrait fin avant l'ordre de mission fatidique. Il n'avait aucune envie d'être de nouveau l'auxiliaire de la mort mais on lui avait servi le même discours que les fois précédentes; La vie d'un homme pour en sauver plusieurs centaines, ses frères d'armes qui comptent sur lui pour les aider à rentrer chez eux et qui ont une totale confiance en lui....L'opération lui semble bonne et ses yeux, sous la visière de sa casquette aux formes improbables, ont la froideur d'une détermination sans borne. Mais, parfois, dans son sommeil souvent agité, il revoit la tête d'un homme éclater comme un fruit trop mûr à l'impact d'un projectile tiré depuis son arme ou bien une silhouette lever les bras au ciel et s'écrouler comme une marionnette dont on aurait coupé les fils et il sait que le tir a été fatal. Il est certain que ces images le hanteront jusqu'à la fin de ses jours mais, il se dit en s'ébrouant mentalement qu'en ces terribles instants, il n'a pas d'autre choix. Cela fait maintenant deux ans qu'il vit et qu'il combat de cette manière, toujours seul et ne comptant sur personne d'autre que lui même. Il a toujours refusé d'avoir quelqu'un avec lui, ne voulant pas avoir la responsabilité d'un équipier car il sait qu'il ne supporterait pas sa mort ou bien sa capture. Son sens de l'anticipation lui a souvent permis de se sortir de situations presque désespérées et il en arrive à apprécier ce jeu du chat et de la souris . Le secret est d'avoir toujours un coup d'avance sur l'ennemi. Seul le plus malin, le plus prévoyant et le plus ingénieux sortira vainqueur de ces duels qui semblent parfois virtuels jusqu'au coup de feu qu'une longue répétition de séances de tir entre deux missions rend mortel à coup sûr. Il sait que beaucoup de ses camarades comptent sur lui pour sortir sains et saufs de cet enfer même si, pour cela, il doit ôter la vie à un homme. Il n'a pas le droit à l'erreur, une seule balle doit suffire. Alors, il est là. Mais, pour que cette balle atteigne sa cible, encore faut il la localiser. Il sait aussi qu'il n'a aucune pitié à attendre des ennemis s'il venait à se faire prendre. Cela fait partie des règles de ce jeu inhumain qu'il a accepté.

Une première nuit d'observation pour noter les déplacements et les relèves des sentinelles s'achève et le soleil commence sa ronde dans un ciel sans nuage. Il a profité de l'obscurité pour satisfaire ses besoins naturels le plus loin possible de son poste de tir et, en même temps, il a étudié plusieurs routes pour s'échapper après l'accomplissement de la première partie de sa mission, la seconde étant le sabotage par explosifs de lignes de chemins de fer, de ponts ou bien de pylônes électriques sur le chemin qui le conduira à un point de rendez vous fixé d'avance pour l'exfiltrer. Cela achèvera de semer la confusion dans les lignes ennemies qui se croiront attaquées de toutes part. Son entrainement en a ainsi fait une sorte de machine à tuer d'une efficacité redoutable sans âme, sans haine et sans passion où seul le résultat compte et prend le pas sur tout autre sentiment. Il s'accorde une gorgée d'eau et mâchonne un fruit sec ainsi il ne charge pas son organisme car il n'est pas question de bouger pendant le jour alors autant éviter les embarras comme une soudaine envie d'uriner. Son observation a repris comme la veille. La patience et le sang froid sont les deux piliers sur lesquels il peut s'appuyer pour assurer le succès de son opération. La pointe de la lunette de tir a repris son vagabondage dans la cour de la ferme ainsi que sur les fenêtres ouvertes du bâtiment dans la fraicheur du matin. Un homme sort par la porte principale et presque automatiquement, la gueule du fusil se cale sur lui et le suit lentement. L'homme semble jeune et malgré l'absence de galons, il comprends qu'il ne peut pas être la cible. La sécurité enlevée, le doigt qui était prêt à se poser sur la queue de détente pour exercer une pression de vingt grammes afin de déclencher le tir a glissé sur la crosse revolver du fusil. Les soldats qui arpentent cette cour en apparence tranquille sous le chaud soleil de cette fin de printemps ne se doutent pas un instant que la mort est si proche et prête à faucher. Le temps et la saison prête plutôt à la flânerie, aux projets d'avenir et à l'amour qu'ils espèrent retrouver quand ils rentreront chez eux. Il remet la sécurité en songeant que la vie d'un homme ne tient qu'à cette minuscule pression sur son fusil qu'il a réglé pour être assez sensible afin d'être lui même surpris par le coup de feu. Cela peut paraître paradoxal cependant c'est ainsi qu'on fait les meilleurs résultats car la pression est trop insignifiante pour que le canon du fusil soit dévié involontairement au moment du tir. Un écart d'un millimètre peut faire le succès ou l'échec d'une mission quand la cible se trouve à six cents mètres. Encore et toujours son entrainement qui s'impose à lui dans ces instants. La journée passe lentement en surveillance et le tireur ne bouge toujours pas. Seul son regard est vivant et à l'affut de l'occasion attendue. C'est en fin de soirée qu'une certaine agitation gagne les soldats dans la ferme. Tous ses sens en alerte, il scrute les hommes qui sont maintenant rassemblés dans la cour et discutent avec de grands gestes. Un instant il a cru que quelqu'un l'avait repéré mais bien vite, il se rend compte qu'il s'agit d'autre chose. Son cœur qui s'était un instant affolé retrouve son rythme régulier et il reprend froidement ses observations. Il repère enfin au milieu de la foule un homme aux cheveux gris qui semble donner des ordres en s'adressant aux soldats. Enfin !! Voila sa cible... Son œil se colle à la bonnette de la lunette mais déjà l'homme rentre dans l'obscurité d'une pièce du bâtiment. Il reprend sa respiration qu'il avait coupée instinctivement au moment de déclencher le tir. L'occasion de tirer s'est enfuie mais il a maintenant une idée assez précise de son objectif. L'ombre gagne la vallée en contrebas de sa position et il se prépare à sa troisième nuit en mission solitaire. Cela ne le gêne pas, bien au contraire car il aime ces longues traques sans personne à ses cotés pour le distraire. La nuit est maintenant totale et il en profite pour boire, manger et se soulager. Dans la journée, il a eu le temps de repenser et de choisir l'itinéraire de dégagement qu'il utilisera demain afin de s'échapper. C'est un sentier a peine marqué et sans doute n'est il plus utilisé depuis longtemps car la végétation l'a déjà pratiquement effacé. Sans bruit, il parcourt les premières centaines de mètres et pose quelques pièges afin de ralentir l'ennemi qui ne manquera pas de se lancer à sa poursuite et qui pourrait retrouver ses traces malgré toutes les précautions qu'il a prises. Enfin, il regagne son poste et s'accorde quelques heures d'un sommeil léger pour attendre le jour sans impatience et rien ne trahit une quelconque nervosité dans son attitude. Il est là pour faire son travail et il l'accomplira sans hésitation.

Un nouveau jour se lève enfin et quand la lumière envahit la scène qu'il surveille, il est prêt. Il règne une certaine torpeur dans la ferme comme si c'était le calme avant la tempête. Quelques hommes sortent de la ferme mais sa cible est invisible. Attendre ..... Il en profite pour affiner ses réglages, définir la force et la direction de la brise qui s'est levée et qui change ses paramètres de tir et la lunette se pose sur chaque silhouette tour à tour. Au moment ou les hommes tournent la tête vers la porte du bâtiment principal, une vibration discrète se fait sentir dans sa poche de poitrine. Sa radio lui transmet un message... Voilà qui n'est pas courant. C'est d'ailleurs la première fois qu'elle se manifeste au beau milieu d'une opération.. Sa cible vient de sortir et se trouve au milieu de la cour entourée des soldats qui l'écoutent parler. Il a une hésitation. Mais pour que ses supérieurs l'appellent maintenant, cela doit être important et puis, il y aura d'autres possibilités dans la journée pour accomplir sa mission. Il récupère sa radio dans la poche et en parlant le plus bas possible annonce:

' Sierra unité j'écoute' La réponse ne se fait pas attendre et son interlocuteur lui annonce : ' De starter à Sierra unité, parfum de fleurs, je répète parfum de fleurs'

Interloqué, il a une minute de flottement devant l'énormité de ce message et se décide à redemander : ' De Sierra unité à Starter, confirmez votre message' et de nouveau une voix lointaine lui réponds : 'De Starter à Sierra unité, parfum de fleurs'

Alors, enfin libéré d'un poids qui l'écrasait sans même qu'il s'en rende compte, il reprends sa radio et dit : ' De Sierra unité à Starter, bien reçu et compris, je décroche' Il jette un dernier coup d'œil dans cette cour devenue maintenant si familière et promène la pointe de la lunette sur la silhouette du vieil homme, s'arrêtant un instant sur sa tête. Il ne tirera pas, ne tuera personne aujourd'hui ni plus jamais et c'est avec soulagement qu'il cesse sa surveillance.

Puis il se met en devoir de réunir ses affaires, il démonte sa lunette de tir afin de la ranger dans son étui, enlève le chargeur de son fusil qu'il recouvre de sa housse après avoir éjecté la cartouche engagée dans la culasse. Il endosse son sac à dos rempli de charges explosives encore inertes, prend son fusil sur l'épaule et se lève pour faire demi tour. Au passage, il désamorce les pièges qu'il avait tendus la nuit dernière encore étonné que cela se finisse ainsi. En effet le code qu'il a reçu signifiait que sa mission était immédiatement annulée car l'armistice était signée ou bien sur le point de l'être rendant ainsi sa mission obsolète. Il comprenait à présent l'agitation qui régnait depuis hier soir dans la cour de cette ferme. Sans doute les rumeurs sur la fin du conflit étaient arrivées jusque dans ce coin isolé. Il n'aurait pas à tuer pour protéger ses camarades et cela le remplissait de joie.

Il se redressa et il se mit à marcher d'un bon pas sur la route avec le soleil qui lui chauffait la nuque. Il entendait, au loin, une cloche qui sonnait gaiement en annonçant la fin d'un cauchemar . Un sourire naquit sur ses lèvres et, d'un mouvement d'épaule, il redressa son sac à dos tout en allongeant son pas . Il marchait vers l'ouest, il rentrait chez lui......

Quand mon ami le vent m'a conté cette histoire, il m'a dit qu'il n'y avait pas eu de vainqueur car, quand d'aventure il souffle sur la maison de cet ancien soldat, il n'y trouve qu'un homme brisé par ses souvenirs de morts et de sang versé pour une cause qu'on lui avait dit juste. Le doute, puis la certitude qu'il n'avait été qu'un pion sur l'immense échiquier d'un conflit déclenché par des hommes avides de pouvoir et de richesses l'ont brisé à jamais et, dans ses yeux, on ne voit plus que la tristesse, le remords et la honte d'avoir participé à cette mascarade infernale. Il sait maintenant qu'il était l'ultime cible et toutes les balles qu'il a tiré lui reviennent en plein cœur......

Amis promeneurs, si d'aventure, vous découvrez ce qui pourrait passer pour un de ses anciens postes de tir, inutile de chercher des traces de son passage car vous n'en trouverez aucune. Il n'était qu'une ombre, un fantôme qui ne laisse pas plus d'empreinte qu'une brume matinale, une possibilité dans un passé maintenant lointain......Peut être même n'a t'il jamais existé et c'est tant mieux.

 
Auteur : Romulus41 le 30/09/2017 17:30:02
134052R1 - ----------------
AVE !!!

Je me surprends à avoir tout lu et c'est tant mieux.

Jolie histoire la bestiole
 
Auteur : bidouille le 30/09/2017 19:25:11
134052R2 - .


le commentaire de Romu m'a incité à faire de même

je ne sais pas ce que j'ai le plus aimé, ta façon d'écrire ou l'histoire, les deux réunis peut être

en tout cas


 
Auteur : LoU Gobi le 30/09/2017 19:43:02
134052R3 - Son @mi le vent
Marsu
Encore une bonne histoire que ton @mi le vent t'a rapporté d'un lieu ou il est question de vie ou de mort et ou rien ne se passa, et qui retrace le vécu d'un soldat
Ton histoire, surtout la fin , me ramène à mon Père, ancien soldat de la 2eme WW, bien qu'il nous ait quité il y a vingt ans, il me semble l'entendre parler

Depuis tout petit et en age de comprendre,très souvent, il marmonait le matin en se levant, '' Cette nuit, j'étais encore labas'' il en avait aussi les sueurs
Ca le mettait en rogne, ILS lui avaient volé sa jeunesse et son innocence

il me semblait voir défiler dans ses yeux toutes les scènes d'horreurs qu'il avait vécu depuis le débarquement le 15 aout en Provence, la remonté du Rhone, tous les combats dans la région ouest, Juras, Vosges, Alsace et ce jusqu'en Allemagne

Bravo encore Bises à toi, à Gev et toute la tribut Marsupilaminienne

 
Auteur : farfadeo le 30/09/2017 20:57:08
134052R4 - ...
[1913] bonsoir Marsupi l'ami , merçi pour cette petite histoire que l'on croirai écrite par un vrai sniper.
j'ai été dragon ...puis..... marin... terre et mer en somme , j'ai fait aussi la guerre, enfin je croyai donc servir la paix.
je trouve la phrase de fin tellement , mais alors tellement criante de vérité

'' Le doute, puis la certitude qu'il n'avait été qu'un pion sur l'immense échiquier d'un conflit déclenché par des hommes avides de pouvoir et de richesses l'ont brisé à jamais et, dans ses yeux, on ne voit plus que la tristesse, le remords et la honte d'avoir participé à cette mascarade infernale. ( et les cauchemerds)...
le soucis quand on est jeune , on croit bien faire, et être bien dirigé , pour la liberté des gens , des valeurs...de la vie....et hop!!comme un bon mouton on saute de la falaise comme les copains.
au final quand on voit la mascarade....toujours la mème... à l'atterissage si tu atterri car tu reste toujours bien perché quand mème.
tu t'aperçois que se sont ces mèmes gens qui t'on parlé de liberté, qui ont déclenché les hostilités.......
merçi de ton passage,et de ce beau texte, a bientot.


 
Auteur : alain 47 le 30/09/2017 21:40:21
134052R5 - ::::
[1867] Marsupilami

Toujours un plaisir de vous lire
Votre ami le vent est bien inspiré de s adresser a vous ,

A tous, ne zappez pas foncez c est


Merci !
 
Auteur : migrateur le 30/09/2017 22:04:59
134052R6 - ...........
[1666] Marsu
Encore bravo et merci pour cette histoire. Nous attendons comme le héros la concrétisation de tous ses efforts. Le fait qu'il n'ait pas agi, fait retomber la tension de cette atmosphère si bien décrite durant ce 'long' récit.
Merci de me forcer à lire, merci.
@+
 
Auteur : mamie bolo le 01/10/2017 08:27:13
134052R7 - marsu
[39] Bonjour l'ami : n'ai pas tout lu mais quel bonheur de t'avoir, à nouveau, sur le site : gros bisous .
 
Auteur : La Hire 86 le 02/10/2017 16:09:04
134052R8 - .....
Marsupilami

Me saouler ,il n'en n'a pas été question ,ce récit précis nous mets tout de suite
dans une telle ambiance (;évidement pas vécue ;mais tous ces préparatifs me rappelle
quelques souvenirs) qu' on sort effectivement soulagé de cette fin ,

C'est un vrai plaisir que de te lire
ce récit rejoindra tes autres (tant pis pour les droits d'auteur) dans le classeur .
merci et que le vent continue de t'inspirer encore longtemps .

 
Auteur : Joël13 le 02/10/2017 17:39:29
134052R9 - ...
[1863] Marsupilami,

pour ce nouveau très beau récit. C'est un réel plaisir de lire tes nouvelles qui sont toujours très prenantes.

Amicalement.

Joël


 
Auteur : Urkataz le 02/10/2017 23:22:13
134052R10 - FOMEC BLOTS
[1393] Marsupilami
Belle histoire bien narrée
Juste une petite précision de sniper L
Bonne soirée



 
Auteur : rapace le 06/10/2017 19:39:27
134052R11 - oh ! putain...........

Il est de retour ?
Je ne peux pas le lire , c'est écrit trop petit . Dites-lui de faire un effort et d'écrire avec un gros feutre . Sinon , ne lui transmettez mon salut que s'il est de bonne humeur et embrassez Gev de ma part

 
Auteur : priio le 06/10/2017 22:35:54
134052R12 - re
Salut Mon Marsupial!

Toujours aussi en verve!

Gros Bisous et à bientôt!

PS:merci pour l'id du poids!



 
Auteur : l'indien le 08/10/2017 01:52:13
134052R13 - e
a tous

l'ami Marsu

si un jour, on m'aurait dit que j'allais inspirer le grand compteur de la détection, j'aurais surement fait passer une visites a mes oreilles ......


..... ... La muse m' habite ..... ....

le bon dimanche a tous




 
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