Auteur : Walter le 04/03/2015 10:09:50
n°123662R20 - ....... |
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Auteur : Walter le 04/03/2015 10:18:13
n°123662R21 - ... |
Je n'avais pas vu votre dernier message Pierre, je lui ai juste mis un coup de brosse et je n'y toucherai plus!.
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Auteur : aceromique le 04/03/2015 11:00:42
n°123662R22 - . |
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Auteur : Walter le 04/03/2015 11:35:55
n°123662R23 - ..... |
Acéromique!
Je ne suis pas pressé et j'aimerais que les choses soient bien faites pour finir peut être aux yeux de tous dans un musée mais là je révouille.....
Content que tu sois intervenu Acéromique!.
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Auteur : Duncan Idaho le 04/03/2015 11:54:14
n°123662R24 - fleur |
Ce que je trouve le plus original, c'est cette fleur sous le chaton, partie qu'on ne voit pas quand la bague est portée.
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Auteur : Walter le 04/03/2015 12:35:16
n°123662R25 - .... |
Moi aussi Duncan, c'est peut être un travail décoratif qui était réservé uniquement aux yeux du porteur de la bague mais je me demande comment ce décor ne s'est pas usé au fil du temps car il devait être en contact direct avec le doigt...
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Auteur : Duncan Idaho le 04/03/2015 13:10:34
n°123662R26 - usure |
Elle n'a peut-être pas été portée longtemps (perdue tôt).
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Auteur : Walter le 04/03/2015 19:46:31
n°123662R27 - .... |
C'est peut être la bonne hypothèse. Je viens de lire ton poste Duncan et je trouve ta bague superbe aussi.
Les bagues sont à l'honneur en ce moment!.
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Auteur : veridik le 04/03/2015 20:38:46
n°123662R28 - !!! |
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Auteur : Walter le 05/03/2015 13:58:40
n°123662R29 - .... |
à tous Veridik
Je te remercie!. Voici ce que j'ai trouvé modestement sur internet concernant la taille :
Au XVe siècle apparut la taille dite « en table », dans laquelle le dessus de l’octaèdre est aplati, donnant au diamant une « table » plane.
Au cours du XVIe siècle, la technique du polissage en facettes se développa. Elle nécessite une roue de polissage et de la poussière de diamant.
autre source :
Bague médiévales
Les pierres le plus généralement employées sur le chaton des bagues sont le diamant, le rubis; la perle, le grenat, le saphir, l'émeraude, l'agathe, l'améthiste et la turquoise.
Serties et fixées sur le métal, elles gardent approximativement leurs formes naturelles ronde, ovale ou irrégulièrement polygonale. Leur surface extérieure est ménagée soit en table, c'est-à -dire à plat, soit en cabochons (polie non taillée en facette).
Généralement fort négligée, leur taille ne permet point de les mettre en valeur et de leur procurer le maximum d'éclat qu'elles eussent pu répandre. Celle du diamant, cependant connue des Anciens; ainsi que l'atteste Pline, reste particulièrement peu pratiquée pendant le Moyen âge et c'est à partir du xve siècle seulement que la disposition régulière des facettes procure à cette pierre le rang proéminent qu'elle ne cesse plus d'occuper depuis lors.
Le diamant, porté d'abord en cabochon, est, dans la suite, débité en table taillée en biseau ou à pans. Lorsqu’il possède une grande épaisseur, on taille la partie supérieure en table à biseau et la partie opposée en prisme régulier formant la culasse.Ils sont également utilisé, en « fest », en « écusson », ou en pointe. Parfois enfin il est en triangle ou en losange.
Pierre taillée en table :
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Auteur : alex.tre le 06/03/2015 11:37:27
n°123662R30 - alors là |
[1007] Bonjour,
félicitations ! tout simplement fantastique ....
une des plus belles choses que j'ai vu sur le forum depuis des années !
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Auteur : Walter le 06/03/2015 20:22:33
n°123662R31 - ... |
alex.tre à tous!
Je te remercie, j'avoue qu'en ce moment je suis encore euphorique mais il va falloir redescendre sur terre!.
Je remets une photo!.
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Auteur : KEZAKO13 le 07/03/2015 09:14:12
n°123662R32 - re |
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Auteur : Duncan Idaho le 07/03/2015 13:19:57
n°123662R33 - un peu d'imagination |
Cunégonde rencontra au château de ses parents son futur époux, dont les propres parents voyaient en ce mariage un moyen de renforcer la puissance de leur famille grâce au grand domaine de la mariée, et à la dote qui allait être versée.
Les deux tourtereaux, après le repas en présence des châtelains et châtelaines du comté, au cours duquel furent servis moult mets et force boissons, eurent l'autorisation de gambader ensemble et joyeusement dans la campagne verdoyante, sous le tiède soleil de printemps, en compagnie d'un chaperon.
Mais la chaperon, certes habituée à l'enthousiasme des jeunes gens, finit par se fatiguer lors de cette gaie marche dans les hautes herbes des prairies, et se tordit la cheville dans un creux de terrain qu'elle ne vit point. Elle retourna au château en s'appuyant sur une bâton pour soulager sa douleur. Le jeune couple ayant fait semblant de ne pas l'entendre se faire appeler, se dirigea vers la lisière de la forêt.
Leurs séants posés sur la tendre mousse, ils se regardaient en écoutant gazouiller les oiseaux.
Alors lui sortit de son mantel pourpre une boîte en ivoire finement travaillée. Il l'ouvrit et présenta à sa promise une bague superbement travaillée, en or, émail et diamant.
Sous les rayons du soleil, elle brillait de mille feux et les cris d'extase de la jouvencelle excitèrent le bas ventre du jeune homme qui l'embrassa et commença à vouloir la dévêtir.
'Oh, Hugues, pensez-vous que cela soit bien raisonnable ?
- Ma raison m'a fui depuis que je vous sais mienne. Pardonnerez-vous ma fougue ? Je vous désire tant, Isabeau !
- Ah, Hugues, je vous aime aussi, mais nous devons attendre les liens sacrés du mariage que Dieu nous délivrera.
- Mais tous les jours je pense à vous. Voyez en ce présent un gage de mon amour et de ma loyauté les plus profonds.'
Alors elle passa l'anneau à son doigt, et raisonnables finalement, ils se relevèrent en roucoulant, elle les sens submergés par des émotions si nouvelles, lui le bas ventre douloureux de frustration.
Ils coururent l'un après l'autre, se faisaient tourner, riaient, et rentrèrent au château.
'Hugues, c'est affreux, je n'ai plus ma bague, je l'ai perdue je ne sais où.
- Ah, que me faites-vous-là ? Comment pouvez-vous prétendre m'aimer si vous ne savez point garder les présents que je vous offre ?
- Je suis si triste, comment pourrais-je retrouver cette bague ? Pardonnez-moi je vous en prie, mon cher et tendre futur époux.
- Soit, ma mie. Cet objet si matériel est peu de chose devant l'éternel bonheur qui nous attend.'
Quelques siècles plus tard, Walter Le Veinard passait par là , son détecteur à la main.
Alerté par un son pas trop fort mais bien stable, il décida de creuser, et sortit de terre la bague perdue d'Isabeau.
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Auteur : Walter le 07/03/2015 15:14:44
n°123662R34 - ..... |
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Auteur : Duncan Idaho le 07/03/2015 18:11:47
n°123662R35 - temps anciens |
Ce que je trouve le plus émouvant dans les trouvailles que nous faisons, c'est le fait que nous ayons eu des ancêtres contemporains des personnes qui ont perdu leurs objets.
Peut-être (il y a très peu de chance mais ce n'est pas impossible) un de tes ancêtres connaissait la personne qui a perdu la bague ; ou connaissait quelqu'un qui connaissait quelqu'un etc.
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Auteur : Walter le 07/03/2015 21:13:44
n°123662R36 - .... |
Je suis d'accord avec toi Duncan
Si tu as des ancêtres qui sont restés dans le même village pendant plusieurs siècles, la probabilité de trouver des objets leur appartenant n'est pas négligeable!, j'y pense souvent.
Je ne parle même pas des monnaies qui ont circulé et qui ont du un jour leur appartenir....
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